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Psaumes 139:1-18

Psaumes 139:1-18 PDV2017

SEIGNEUR, tu regardes jusqu’au fond de mon cœur et tu me connais. Tu sais quand je m’assois et quand je me lève, longtemps à l’avance, tu sais ce que je pense. Tu sais quand je marche et quand je me couche, et tu connais toutes mes actions. Je n’ai pas encore ouvert la bouche, tu sais déjà tout ce que je vais dire ! Tu es derrière moi, tu es aussi devant moi, tu poses ta main sur moi. Tu me connais parfaitement. Pour moi, c’est trop beau, cela dépasse tout ce que je peux comprendre. Où aller loin de toi ? Où fuir loin de ton regard ? Si je monte au ciel, tu es là, si je me couche au milieu des morts, te voici. Si je m’envole sur les ailes du matin pour aller au-delà des mers, même là, tu me conduis par la main et tu me tiens solidement. Je peux dire : « Je veux me cacher complètement dans l’obscurité. Que le jour devienne nuit autour de moi ! » Mais pour toi, même l’obscurité est lumière, et la nuit est claire comme le jour. Obscurité ou lumière, pour toi c’est la même chose. C’est toi qui as créé ma conscience, c’est toi qui m’as tissé dans le ventre de ma mère. SEIGNEUR, je te dis merci parce que tu m’as créé. Oui, mon corps est étonnant et très beau. Ce que tu fais est magnifique, je le reconnais. Quand tu me formais dans le secret, quand tu me brodais dans la profondeur de la terre, tu voyais tout, rien n’était caché pour toi. J’étais à peine formé, tu me voyais déjà ! Déjà, tu avais écrit dans ton livre le nombre de jours que tu allais me donner, et pourtant, aucun n’avait encore commencé ! Ô Dieu, tes pensées sont vraiment difficiles, elles sont si nombreuses ! Comment les compter ? Elles sont plus nombreuses que les grains de sable. Même si je les comptais toutes, je n’arriverais pas à te comprendre !

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