3 choses à faire lorsqu'on prie pour un maladeExemple

Jour 3 – Louer Dieu et agir comme si c’était accompli

Une fois la prière de foi prononcée, l’étape décisive consiste à passer du dire au vivre : se comporter comme si la guérison était déjà entrée dans le présent. Cette posture n’a rien à voir avec une autosuggestion optimiste ; elle repose sur une certitude spirituelle. L’auteur de l’épître aux Hébreux exhorte de ne pas abandonner l’assurance ; la persévérance est nécessaire (Hébreux 10 :35-36). Autrement dit, la foi se reconnaît à son endurance tranquille, pas à une flambée d’émotions.

Jésus lui-même en offre l’exemple lors de la résurrection de Lazare. Avant d’appeler son ami hors du tombeau, il lève les yeux et remercie son Père pour un miracle qui, aux yeux de tous, n’existe pas encore (Jean 11 :41-43). Cette action de grâce préalable n’est pas symbolique : elle scelle la conviction que la réponse divine est déjà libérée. De la même manière, lorsqu’un malade a reçu la prière, la louange devient le signal que l’on croit à l’œuvre achevée.

Concrètement, commence par remercier Dieu à haute voix. Remercie-le pour l’œuvre de la croix, pour la puissance de guérison déjà disponible, pour la fidélité de Sa parole. Cette gratitude ouvre la porte à la manifestation visible ; elle désarme l’incrédulité qui cherche toujours une sensation avant de croire. Ensuite, invite le malade à vérifier. Demande simplement : « Comment te sens-tu ? Teste ce que tu ne pouvais pas faire. » Ce geste n’a rien d’irrespectueux ; c’est une expression de confiance. Il montre que nous nous attendons à voir physiquement ce que nous avons proclamé spirituellement.

Si les symptômes persistent, réaffirme la promesse calmement, sans précipitation ni panique : « Nous croyons que Jésus a déjà porté cette douleur ; elle doit s’en aller. » Puis loue encore. La louange revenant comme un refrain entretient l’atmosphère de victoire et empêche la crainte de regagner du terrain.

Pratiquer cette attitude réclame parfois plusieurs cycles de prière, d’action de grâce et de vérification. Ce n’est ni de l’entêtement charnel ni une tentative de forcer la main de Dieu ; c’est la persévérance biblique qui refuse de se soumettre aux apparences. Rappelle-toi que le mandat consiste à manifester une victoire déjà acquise, non à la fabriquer. Tant que tu demeures conscient que la source est au ciel et que tu n’es qu’un canal, tu peux rester détendu. La paix, loin d’être passive, devient alors une arme puissante : elle rappelle au malade, au croyant et même à l’adversaire que la parole de Dieu suffit.

En gardant ce rythme — prière d’autorité, louange anticipée, vérification honnête, persévérance paisible — tu verras se multiplier les témoignages. Certains constateront une amélioration immédiate, d’autres recevront une guérison progressive ; mais tous auront expérimenté une atmosphère où la foi parle plus fort que les symptômes. Là où la louange précède la manifestation, la gloire de Dieu ne tarde jamais à apparaître.

Désirez-vous grandir dans la guérison ? Voici une ressource biblique qui va, je le crois, vous bénir : je suis convaincu que mon ebook "Les 5 mensonges bloquant la guérison divine" va vous aider à mieux comprendre les pièges de l'ennemi et vous permettre de vivre la guérison surnaturelle dans votre corps. J'ai reçu des centaines de témoignages de guérisons à travers cette ressource que je sais qu'il vous bénira ! Je vous invite à cliquer ici pour le télécharger gratuitement.

Jérémy Pothin