Cantique des Cantiques 5:2-6
Cantique des Cantiques 5:2-6 JND
*Je dormais, mais mon cœur était réveillé. C’est la voix de mon bien-aimé qui heurte : Ouvre-moi, ma sœur, mon amie, ma colombe, ma parfaite ! Car ma tête est pleine de rosée, mes boucles, des gouttes de la nuit. – Je me suis dépouillée de ma tunique, comment la revêtirais-je ? J’ai lavé mes pieds, comment les salirais-je ? – Mon bien-aimé a avancé sa main par le guichet, et mes entrailles se sont émues à cause de lui. Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé, et de mes mains a dégoutté la myrrhe, et de mes doigts, la myrrhe limpide, sur les poignées du verrou. J’ai ouvert à mon bien-aimé, mais mon bien-aimé s’était retiré, il avait passé plus loin ; mon âme s’en était allée pendant qu’il parlait. Je le cherchai, mais je ne le trouvai pas ; je l’appelai, mais il ne me répondit pas.





