Zakarie 11:4-5
Zakarie 11:4-5 Bible J.N. Darby (JND)
Ainsi dit l’ÉTERNEL, mon DIEU : Pais le troupeau de la tuerie, que leurs possesseurs tuent, sans passer pour coupables, et dont les vendeurs disent : Béni soit l’ÉTERNEL, je me suis enrichi ! et leurs bergers ne les épargnent pas.
Zakarie 11:4-5 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Le SEIGNEUR mon Dieu me donne cet ordre : « Deviens le berger des moutons qui doivent être tués. Ceux qui les achètent les tuent et ils croient qu’ils ne font rien de mal. Ceux qui les vendent disent : “Remercions le SEIGNEUR, nous voilà riches !” Leurs bergers n’ont même pas pitié d’eux.
Zakarie 11:4-5 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Ainsi parle l'Eternel, mon Dieu; Pais les brebis destinées à la boucherie! Ceux qui les achètent les égorgent impunément; Celui qui les vend dit: Béni soit l'Eternel, car je m'enrichis! Et leurs bergers ne les épargnent pas.
Zakarie 11:4-5 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
L’Eternel mon Dieu dit : Sois le berger du troupeau voué au carnage. Ceux qui achètent les brebis les tuent impunément, ceux qui les vendent s’écrient : « Béni soit l’Eternel ! Je me suis enrichi ! », tandis que leurs propres bergers n’ont aucune pitié pour elles.
Zakarie 11:4-5 La Bible Segond 21 (S21)
Voici ce que dit l'Eternel, mon Dieu: «Prends soin des brebis destinées à l'abattoir. Ceux qui les achètent les égorgent impunément, et celui qui les vend dit: ‘Béni soit l'Eternel, car je m'enrichis!’ Leurs propres bergers n'ont pas pitié d'elles.
Zakarie 11:4-5 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Ainsi parle l’Éternel, mon Dieu: Pais les brebis destinées à la boucherie! Ceux qui les achètent les égorgent impunément; Celui qui les vend dit: Béni soit l’Éternel, car je m’enrichis! Et leurs pasteurs ne les épargnent pas.
Zakarie 11:4-5 Bible en français courant (BFC)
Un jour, le Seigneur mon Dieu me donna cet ordre: «Deviens le berger des moutons destinés à l'abattoir. Ceux qui les achètent les égorgent sans se croire coupables, et ceux qui les vendent s'exclament: “Remercions le Seigneur, nous voilà riches!” Leurs propres bergers n'en ont même pas pitié.