Luc 18:9-14
Luc 18:9-14 Bible Darby en français (FRDBY)
Et il dit aussi cette parabole à quelques-uns qui se confiaient en eux-mêmes comme s'ils étaient justes, et qui tenaient le reste des hommes pour rien: deux hommes montèrent au temple pour prier, l'un pharisien, et l'autre publicain. Le pharisien, se tenant à l'écart, priait en lui-même en ces termes: O Dieu, je te rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes qui sont ravisseurs, injustes, adultères; où même comme ce publicain. Je jeûne deux fois la semaine, je donne la dîme de tout ce que je possède. Et le publicain, se tenant loin, ne voulait même pas lever les yeux vers le ciel, mais se frappait la poitrine, disant: O Dieu, sois apaisé envers moi, pécheur! Je vous dis que celui-ci descendit en sa maison justifié plutôt que l'autre; car quiconque s'élève, sera abaissé; et celui qui s'abaisse sera élevé.
Luc 18:9-14 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Certains croyaient être justes et ils méprisaient tous les autres. Pour eux, Jésus raconte cette histoire : « Deux hommes vont au temple pour prier. L’un est Pharisien, l’autre est employé des impôts. Le Pharisien se met devant. Voici comment il prie dans son cœur : “Mon Dieu, je te remercie parce que je ne suis pas comme les autres. Ils sont voleurs, injustes, adultères. Et je te remercie parce que je ne suis pas comme cet employé des impôts. Je jeûne deux fois par semaine. Je te donne le dixième de tout ce que je gagne.” L’employé des impôts reste derrière, il ne veut même pas lever les yeux vers le ciel. Mais il se frappe la poitrine pour demander pardon et il dit : “Mon Dieu, aie pitié de moi ! Je suis un homme pécheur.” » Jésus ajoute : « Oui, je vous le dis, l’employé des impôts rentre chez lui, et Dieu le considère comme une personne juste. Ce n’est pas le cas du Pharisien. En effet, celui qui veut être au-dessus des autres, on lui donnera la dernière place. Et celui qui prend la dernière place, on le mettra au-dessus des autres. »
Luc 18:9-14 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Il dit encore cette parabole, en vue de certaines personnes se persuadant qu'elles étaient justes, et ne faisant aucun cas des autres: Deux hommes montèrent au temple pour prier; l'un était pharisien, et l'autre publicain. Le pharisien, debout, priait ainsi en lui-même: O Dieu, je te rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes, qui sont ravisseurs, injustes, adultères, ou même comme ce publicain; je jeûne deux fois par semaine, je donne la dîme de tous mes revenus. Le publicain, se tenant à distance, n'osait même pas lever les yeux au ciel; mais il se frappait la poitrine, en disant: O Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur. Je vous le dis, celui-ci descendit dans sa maison justifié, plutôt que l'autre. Car quiconque s'élève sera abaissé, et celui qui s'abaisse sera élevé.
Luc 18:9-14 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Il raconta aussi une parabole pour ceux qui étaient convaincus d’être justes et méprisaient les autres : Deux hommes montèrent au Temple pour prier : un pharisien et un collecteur d’impôts. Le pharisien, debout, faisait intérieurement cette prière: « O Dieu, je te remercie de ne pas être avare, malhonnête et adultère comme les autres hommes, et en particulier comme ce collecteur d’impôts là-bas. Moi, je jeûne deux jours par semaine, je donne dix pour cent de tous mes revenus. » Le collecteur d’impôts se tenait dans un coin retiré, et n’osait même pas lever les yeux au ciel. Mais il se frappait la poitrine et murmurait : « O Dieu, aie pitié du pécheur que je suis ! » Je vous l’assure, c’est ce dernier et non pas l’autre qui est rentré chez lui déclaré juste par Dieu. Car celui qui s’élève sera abaissé ; celui qui s’abaisse sera élevé.
Luc 18:9-14 Bible Segond 21 (S21)
Il dit encore cette parabole, à l'intention de certaines personnes qui étaient convaincues d'être justes et qui méprisaient les autres: «Deux hommes montèrent au temple pour prier; l'un était un pharisien, l'autre un collecteur d’impôts. Le pharisien, debout, faisait cette prière en lui-même: ‘O Dieu, je te remercie de ce que je ne suis pas comme les autres hommes, qui sont voleurs, injustes, adultères, ou même comme ce collecteur d’impôts. Je jeûne deux fois par semaine et je donne la dîme de tous mes revenus.’ Le collecteur d’impôts, lui, se tenait à distance et n'osait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine en disant: ‘O Dieu, aie pitié de moi, qui suis un pécheur.’ Je vous le dis, lorsque ce dernier descendit chez lui, il était considéré comme juste, mais pas le pharisien. En effet, toute personne qui s'élève sera abaissée, et celle qui s'abaisse sera élevée.»
Luc 18:9-14 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Il dit encore cette parabole, en vue de certaines personnes se persuadant qu’elles étaient justes, et ne faisant aucun cas des autres: Deux hommes montèrent au temple pour prier; l’un était pharisien, et l’autre publicain. Le pharisien, debout, priait ainsi en lui-même: O Dieu, je te rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes, qui sont ravisseurs, injustes, adultères, ou même comme ce publicain; je jeûne deux fois la semaine, je donne la dîme de tous mes revenus. Le publicain, se tenant à distance, n’osait même pas lever les yeux au ciel; mais il se frappait la poitrine, en disant: O Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur. Je vous le dis, celui-ci descendit dans sa maison justifié, plutôt que l’autre. Car quiconque s’élève sera abaissé, et celui qui s’abaisse sera élevé.
Luc 18:9-14 Bible en français courant (BFC)
Jésus dit la parabole suivante à l'intention de ceux qui se croyaient justes aux yeux de Dieu et méprisaient les autres: «Deux hommes montèrent au temple pour prier; l'un était Pharisien, l'autre collecteur d'impôts. Le Pharisien, debout, priait ainsi en lui-même: “O Dieu, je te remercie de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes, qui sont voleurs, mauvais et adultères; je te remercie de ce que je ne suis pas comme ce collecteur d'impôts. Je jeûne deux jours par semaine et je te donne le dixième de tous mes revenus.” Le collecteur d'impôts, lui, se tenait à distance et n'osait pas même lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine et disait: “O Dieu, aie pitié de moi, qui suis un pécheur.” Je vous le dis, ajouta Jésus, cet homme était en règle avec Dieu quand il retourna chez lui, mais pas le Pharisien. En effet, quiconque s'élève sera abaissé, mais celui qui s'abaisse sera élevé.»