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Ésaïe 18:1-7

Ésaïe 18:1-7 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Quel malheur pour le pays des bateaux aux deux voiles, qui se trouve le long des fleuves d’Éthiopie ! Il envoie des messagers qui voyagent sur le Nil dans des barques de jonc ! Rentrez chez vous, messagers rapides. Repartez vers votre peuple de haute taille, à la peau brillante, vers ce peuple qui fait peur ici et partout, ce peuple puissant qui écrase ses ennemis. Repartez dans votre pays traversé par des fleuves. Vous tous, habitants du monde, vous qui couvrez la terre, regardez, quand on dressera un signal sur les montagnes, écoutez, quand on fera entendre la corne de bélier ! En effet, le SEIGNEUR m’a dit : « Depuis le lieu où j’habite, je veux regarder et rester tranquille, comme la chaleur brûlante en pleine lumière, comme un nuage de rosée dans la chaleur de la récolte. » Avant la récolte, quand la vigne a fleuri, quand les fleurs sont devenues des grappes qui mûrissent, on coupe avec un outil les branches inutiles, les pousses et les feuilles. De même, les Éthiopiens seront abandonnés aux aigles des montagnes et aux bêtes sauvages. Les aigles les dévoreront pendant la belle saison, et les bêtes sauvages pendant la mauvaise saison. Alors, on apportera des cadeaux au SEIGNEUR de l’univers, de la part de ce peuple de haute taille et à la peau brillante, de ce peuple qui fait peur ici et partout, ce peuple puissant qui écrase ses ennemis, qui vit dans le pays traversé par des fleuves. On apportera ces cadeaux sur la montagne de Sion, là où habite le SEIGNEUR de l’univers.

Ésaïe 18:1-7 Bible J.N. Darby (JND)

*Ha ! pays qui fais ombre avec tes ailes, [toi] qui es au-delà des fleuves de Cush, qui envoies des ambassadeurs sur la mer et dans des vaisseaux de papyrus, sur la face des eaux, [disant] : Allez, messagers rapides, vers une nation répandue loin et ravagée, vers un peuple merveilleux dès ce temps et au-delà, vers une nation qui attend, attend, et qui est foulée aux pieds, de laquelle les rivières ont ravagé le pays. Vous tous, habitants du monde, et vous qui demeurez sur la terre, quand l’étendard sera élevé sur les montagnes, voyez ; et quand la trompette sonnera, écoutez ! Car ainsi m’a dit l’ÉTERNEL  : Je resterai tranquille, et je regarderai de ma demeure, comme une chaleur sereine sur la verdure, comme une nuée de rosée dans la chaleur de la moisson. Car avant la moisson, lorsque la floraison est finie et que la fleur devient un raisin vert qui mûrit, il coupera les pousses avec des serpes, et il ôtera [et] retranchera les sarments. Ils seront abandonnés ensemble aux oiseaux de proie des montagnes et aux bêtes de la terre ; et les oiseaux de proie passeront l’été sur eux, et toutes les bêtes de la terre passeront l’hiver sur eux. En ce temps-là, un présent sera apporté à l’ÉTERNEL des armées, [le présent] d’un peuple répandu loin et ravagé, – et de la part d’un peuple merveilleux dès ce temps et au-delà, de la part d’une nation qui attend, attend, et qui est foulée aux pieds, de laquelle les rivières ont ravagé le pays,… au lieu où est le nom de l’ÉTERNEL des armées, à la montagne de Sion.

Ésaïe 18:1-7 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Quel malheur pour le pays des bateaux aux deux voiles, qui se trouve le long des fleuves d’Éthiopie ! Il envoie des messagers qui voyagent sur le Nil dans des barques de jonc ! Rentrez chez vous, messagers rapides. Repartez vers votre peuple de haute taille, à la peau brillante, vers ce peuple qui fait peur ici et partout, ce peuple puissant qui écrase ses ennemis. Repartez dans votre pays traversé par des fleuves. Vous tous, habitants du monde, vous qui couvrez la terre, regardez, quand on dressera un signal sur les montagnes, écoutez, quand on fera entendre la corne de bélier ! En effet, le SEIGNEUR m’a dit : « Depuis le lieu où j’habite, je veux regarder et rester tranquille, comme la chaleur brûlante en pleine lumière, comme un nuage de rosée dans la chaleur de la récolte. » Avant la récolte, quand la vigne a fleuri, quand les fleurs sont devenues des grappes qui mûrissent, on coupe avec un outil les branches inutiles, les pousses et les feuilles. De même, les Éthiopiens seront abandonnés aux aigles des montagnes et aux bêtes sauvages. Les aigles les dévoreront pendant la belle saison, et les bêtes sauvages pendant la mauvaise saison. Alors, on apportera des cadeaux au SEIGNEUR de l’univers, de la part de ce peuple de haute taille et à la peau brillante, de ce peuple qui fait peur ici et partout, ce peuple puissant qui écrase ses ennemis, qui vit dans le pays traversé par des fleuves. On apportera ces cadeaux sur la montagne de Sion, là où habite le SEIGNEUR de l’univers.

Ésaïe 18:1-7 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Malheur à ce pays ╵où retentit ╵le bruissement des ailes, terre au-delà des fleuves ╵de l’Ethiopie, toi qui envoies par mer ╵des émissaires dans des vaisseaux de jonc ╵sur la face des eaux ! Rapides messagers, allez vers la nation ╵à la taille élancée, ╵à la peau glabre. Oui, allez vers le peuple ╵que l’on redoute au loin, nation à la langue barbare ╵et qui écrase tout, dont le pays ╵est sillonné de fleuves. Vous qui peuplez le monde, habitants de la terre, regardez l’étendard ╵quand on va le dresser ╵au sommet des montagnes, et, quand le cor va sonner ╵écoutez bien ! Car l’Eternel m’a dit : Je me tiendrai tranquille ╵et je regarderai ╵de ma demeure, pareil à la chaleur ╵dans la lumière ╵éblouissante du soleil, pareil à la nuée ╵formée par la rosée ╵dans la chaleur de la moisson. Car, avant la moisson, ╵quand la floraison est finie, quand la fleur deviendra ╵un raisin qui mûrit, alors on coupera ╵les sarments de la vigne ╵avec une serpette. On enlèvera les sarments ╵et l’on élaguera les branches. Le tout sera abandonné aux oiseaux de proie des montagnes et aux bêtes sauvages : les vautours en feront ╵leur nid pendant l’été, et les bêtes sauvages ╵leur gîte d’hiver. En ce temps-là, ╵le Seigneur des armées célestes ╵recevra des offrandes de la part de ce peuple ╵à la taille élancée, ╵à la peau glabre, de la part de ce peuple ╵que l’on redoute au loin, nation à la langue barbare ╵et qui écrase tout, dont le pays ╵est sillonné de fleuves, dans le lieu où réside ╵le Seigneur des armées célestes, au mont Sion.

Ésaïe 18:1-7 La Bible Segond 21 (S21)

Malheur à toi, pays des grillons ailés situé de l'autre côté des fleuves de l'Ethiopie, toi qui envoies des messagers par mer, dans des embarcations légères qui flottent sur l'eau! Allez donc, messagers rapides, trouver la nation grande et glabre, le peuple redouté bien au-delà de ses frontières, la nation puissante qui écrase tout et dont le territoire est traversé par des fleuves! Vous tous, habitants du monde, vous qui peuplez la terre, lorsque l'étendard sera dressé sur les montagnes, regardez! Lorsque la trompette sonnera, écoutez! En effet, voici ce que m'a dit l'Eternel: «Je veux rester tranquille et regarder de ma place, pareil à la chaleur des rayons du soleil, au nuage porteur de rosée dans la chaude période de la moisson.» Avant la récolte, quand la floraison sera terminée, quand le raisin commencera à mûrir et se transformera en grappe, il coupera les sarments avec des serpes, il enlèvera, il élaguera les branches. Ils seront tous abandonnés aux oiseaux de proie des montagnes et aux bêtes de la terre; les oiseaux de proie passeront l'été sur leurs cadavres, et toutes les bêtes sauvages de la terre l'hiver. A ce moment-là, des offrandes seront apportées à l'Eternel, le maître de l'univers, par le peuple grand et glabre, par le peuple redouté bien au-delà de ses frontières, par la nation puissante qui écrase tout et dont le territoire est traversé par des fleuves. Elles seront apportées à l'endroit où réside le nom de l'Eternel, le maître de l'univers, sur le mont Sion.

Ésaïe 18:1-7 Bible en français courant (BFC)

Ah, ce pays de barques ailées, le long des fleuves d'Éthiopie! Il envoie des ambassadeurs qui voyagent sur le Nil dans des canots de papyrus. Rapides messagers, repartez chez ces gens de haute taille à la peau luisante, chez ce peuple qu'on redoute d'ici jusqu'au bout du monde, chez cette nation puissante qui piétine ses ennemis. Repartez dans votre pays que partagent les fleuves. Quant à vous, habitants du monde, vous qui peuplez la terre, regardez, quand on dressera un signal sur les montagnes, écoutez, quand retentira le son saccadé du cor. Car voici ce que le Seigneur m'a déclaré: «Du haut de ma demeure, j'observe ce qui se passe, parfaitement immobile, comme la chaleur qui rayonne au grand soleil ou les nuages de rosée au temps de la moisson.» Or vers le temps de la moisson, quand la vigne a fini de fleurir, quand la fleur est devenue grappe et que celle-ci mûrit, on retranche à la serpe les rameaux inutiles, les gourmands et des feuilles. Tout cela est abandonné aux vautours des montagnes et aux bêtes sauvages – les vautours en été, les bêtes sauvages en hiver. C'est alors qu'on apportera des dons au Seigneur de l'univers, de la part de ce peuple à la haute taille et à la peau luisante, ce peuple qu'on redoute d'ici jusqu'au bout du monde, cette nation puissante qui piétine ses ennemis, et dont les fleuves partagent le pays. On apportera ces dons sur le mont Sion, là où le Seigneur de l'univers réside.