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1 Rois 21:1-29

1 Rois 21:1-29 Bible J.N. Darby (JND)

*Et il arriva, après ces choses, que Naboth, le Jizreélite, avait une vigne qui était à Jizreël, à côté du palais d’Achab, roi de Samarie. Et Achab parla à Naboth, disant : Donne-moi ta vigne afin que j’en fasse un jardin potager, car elle est proche, à côté de ma maison, et je te donnerai à sa place une meilleure vigne que celle-là, ou, si cela est bon à tes yeux, je te donnerai l’argent que vaut celle-ci. Et Naboth dit à Achab : Que l’ÉTERNEL me garde de te donner l’héritage de mes pères. Et Achab s’en vint à sa maison, triste et irrité, à cause de la parole que Naboth, le Jizreélite, lui avait dite ; car il avait dit : Je ne te donnerai pas l’héritage de mes pères. Et il s’étendit sur sa couche, et détourna sa face, et ne mangea pas du pain. Et Jézabel, sa femme, vint vers lui et lui dit : Pourquoi donc ton esprit est-il triste et ne manges-tu pas du pain ? Et il lui dit : Parce que j’ai parlé à Naboth, le Jizreélite, et lui ai dit : Donne-moi ta vigne pour de l’argent, ou, si cela te plaît, je te donnerai une vigne à la place. Et il a dit : Je ne te donnerai pas ma vigne. Et Jézabel, sa femme, lui dit : Est-ce toi qui exerces maintenant la royauté sur Israël ? Lève-toi, mange du pain, et que ton cœur soit gai ; moi, je te donnerai la vigne de Naboth, le Jizreélite. Et elle écrivit des lettres au nom d’Achab, et les scella de son sceau, et envoya les lettres aux anciens et aux nobles qui étaient dans sa ville, qui habitaient avec Naboth. Et elle écrivit dans les lettres, disant : Proclamez un jeûne et mettez Naboth en tête du peuple, et mettez deux hommes, fils de Bélial, en face de lui, et qu’ils témoignent contre lui, disant : Tu as maudit DIEU et le roi. Et menez-le dehors et lapidez-le, et qu’il meure. Et les hommes de sa ville, les anciens et les nobles qui habitaient sa ville, firent selon ce que Jézabel leur avait demandé, selon ce qui était écrit dans les lettres qu’elle leur avait envoyées : ils proclamèrent un jeûne et mirent Naboth en tête du peuple ; et deux hommes, fils de Bélial, vinrent et s’assirent en face de lui ; et les hommes de Bélial témoignèrent contre lui, contre Naboth, devant le peuple, disant : Naboth a maudit DIEU et le roi. Et ils le menèrent hors de la ville, et l’assommèrent de pierres, et il mourut. Et ils envoyèrent à Jézabel, disant : Naboth a été lapidé, et il est mort. Et il arriva que, lorsque Jézabel apprit que Naboth avait été lapidé et était mort, Jézabel dit à Achab : Lève-toi, prends possession de la vigne de Naboth, le Jizreélite, qu’il refusa de te donner pour de l’argent, car Naboth n’est pas vivant, mais il est mort. Et il arriva que, quand Achab apprit que Naboth était mort, Achab se leva pour descendre à la vigne de Naboth, le Jizreélite, pour en prendre possession. Et la parole de l’ÉTERNEL vint à Élie, le Thishbite, disant : Lève-toi, descends à la rencontre d’Achab, le roi d’Israël, qui est à Samarie : voici, il est dans la vigne de Naboth, où il est descendu pour en prendre possession. Et tu lui parleras, disant : Ainsi dit l’ÉTERNEL  : As-tu tué, et aussi pris possession ? Et tu lui parleras, disant : Ainsi dit l’ÉTERNEL  : Au lieu où les chiens ont léché le sang de Naboth, les chiens lécheront ton sang, à toi aussi. Et Achab dit à Élie : M’as-tu trouvé, mon ennemi ? Et il dit : Je t’ai trouvé, parce que tu t’es vendu pour faire ce qui est mauvais aux yeux de l’ÉTERNEL. Voici, je vais faire venir du mal sur toi, et j’ôterai ta postérité, et je retrancherai d’Achab tous les mâles, l’homme lié et l’homme libre en Israël ; et je ferai de ta maison comme de la maison de Jéroboam, fils de Nebath, et de la maison de Baësha, fils d’Akhija, à cause de la provocation par laquelle tu m’as provoqué et tu as fait pécher Israël. Et aussi à l’égard de Jézabel, l’ÉTERNEL parla, disant : Les chiens mangeront Jézabel à l’avant-mur de Jizreël. Celui [de la maison] d’Achab qui mourra dans la ville, les chiens le mangeront, et celui qui mourra dans les champs, les oiseaux des cieux le mangeront. (Certainement il n’y eut point [de roi] comme Achab, qui se vendit pour faire ce qui est mauvais aux yeux de l’ÉTERNEL, sa femme Jézabel le poussant. Et il agit très abominablement, en allant après les idoles, selon tout ce que faisaient les Amoréens que l’ÉTERNEL avait dépossédés devant les fils d’Israël.) Et il arriva, quand Achab entendit ces paroles, qu’il déchira ses vêtements, et mit un sac sur sa chair, et jeûna ; et il couchait avec le sac et marchait doucement. Et la parole de l’ÉTERNEL vint à Élie, le Thishbite, disant : Vois-tu comment Achab s’est humilié devant moi ? Parce qu’il s’est humilié devant moi, je ne ferai pas venir le mal en ses jours ; [mais] dans les jours de son fils, je ferai venir le mal sur sa maison.

1 Rois 21:1-29 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Après ces événements, voici ce qui arrive à Naboth, d’Izréel. Cet homme possède une vigne à côté du palais d’Akab, le roi de Samarie . Un jour, Akab dit à Naboth : « Ta vigne est juste à côté de ma maison. Donne-moi cette vigne pour y cultiver des légumes. En échange, je t’en donnerai une autre bien meilleure, ou si tu préfères, je te paierai ce qu’elle vaut. » Naboth répond à Akab : « Devant le SEIGNEUR, je n’ai pas le droit de te donner la vigne que j’ai reçue de mes ancêtres . » Akab rentre chez lui. Il est de mauvaise humeur et triste, parce que Naboth lui a dit : « Je ne te donnerai pas la vigne que j’ai reçue de mes ancêtres. » Il se couche sur son lit, il tourne la tête contre le mur et ne veut rien manger. Sa femme Jézabel vient le trouver. Elle lui demande : « Tu es de mauvaise humeur et tu ne veux rien manger. Pourquoi donc ? » Akab répond : « J’ai parlé à Naboth d’Izréel. Je lui ai dit : “Donne-moi ta vigne pour de l’argent, ou si tu préfères, je te donnerai une autre vigne en échange.” Mais il m’a répondu : “Je ne te donnerai pas ma vigne.” » Alors Jézabel lui dit : « Es-tu le roi d’Israël, oui ou non ? Lève-toi, mange et retrouve ta bonne humeur ! Moi, je vais te donner la vigne de Naboth d’Izréel. » Jézabel écrit des lettres au nom d’Akab et elle les marque avec le sceau royal. Elle les envoie aux anciens et aux notables de la ville où Naboth habite. Dans ces lettres, elle écrit ceci : « Réunissez les gens de la ville pour une cérémonie de jeûne. Faites asseoir Naboth au premier rang. En face de lui, placez deux hommes qui ne valent rien. Ils l’accuseront en disant : “Tu as maudit Dieu et le roi !” Ensuite, vous conduirez Naboth en dehors de la ville et vous le tuerez à coups de pierres ! » Les anciens et les notables de la ville agissent comme Jézabel l’a demandé dans ses lettres. Ils décident une cérémonie de jeûne et ils placent Naboth au premier rang. Les deux hommes qui ne valent rien viennent se placer en face de Naboth. Ils l’accusent devant tout le monde en disant : « Naboth a maudit Dieu et le roi. » Alors les gens conduisent Naboth en dehors de la ville et ils le tuent à coups de pierres. Puis les notables de la ville envoient dire à Jézabel : « Naboth a été tué à coups de pierres. » Quand Jézabel apprend la nouvelle, elle dit à Akab : « Naboth n’existe plus, il est mort. Tu peux donc aller prendre pour toi la vigne qu’il a refusé de te vendre. » Quand Akab apprend que Naboth est mort, il va dans la vigne de celui-ci et il la prend pour lui. Alors le SEIGNEUR adresse sa parole à Élie, de Tichebé : « Lève-toi, va trouver Akab, roi d’Israël, qui habite Samarie. Il se trouve dans la vigne de Naboth, il est allé là-bas afin de la prendre pour lui. Tu lui transmettras ce que je lui dis, moi, le SEIGNEUR : “Tu as assassiné quelqu’un, et maintenant, tu viens prendre ce qui est à lui !” Ensuite, tu ajouteras de ma part : “Les chiens ont léché le sang de Naboth. Eh bien, ils lécheront ton sang exactement au même endroit !” » Élie y va et Akab lui dit : « Tu m’as donc trouvé, toi, mon ennemi ! » Élie répond au roi : « Oui, je t’ai retrouvé ! En effet, tu as cédé à tes désirs en faisant ce qui est mal aux yeux du SEIGNEUR. C’est pourquoi le SEIGNEUR te dit : “Je vais faire venir le malheur sur toi. Je vais balayer ta famille, je supprimerai tous les hommes de chez toi, esclaves ou hommes libres en Israël. J’agirai envers ta famille comme j’ai agi envers la famille de Jéroboam, fils de Nebath, et celle de Bacha, fils d’Ahia. En effet, tu as provoqué ma colère et tu as entraîné le peuple d’Israël à pécher.” Voici ce que le SEIGNEUR a dit aussi contre Jézabel : “Les chiens mangeront Jézabel sous les murs de la ville d’Izréel.” De plus, roi Akab, toute personne de ta famille qui mourra dans la ville, les chiens la mangeront. Toute personne de ta famille qui mourra dans la campagne, les charognards la dévoreront. » Personne n’a jamais cédé à ses désirs comme Akab, en faisant ce qui est mal aux yeux du SEIGNEUR. En effet, sa femme Jézabel l’a entraîné à faire le mal. En adorant les faux dieux, il a imité les actions horribles des Amorites que le SEIGNEUR avait chassés pour laisser la place aux Israélites. Quand Akab entend les paroles d’Élie, il déchire ses vêtements, il met un habit de deuil et il jeûne. Il garde cet habit pour dormir et il marche très lentement. Le SEIGNEUR adresse sa parole à Élie, de Tichebé. Il lui dit : « Tu vois comme Akab s’est abaissé devant moi ? Parce qu’il s’est abaissé devant moi, je n’enverrai pas le malheur sur sa famille pendant sa vie. Je l’enverrai quand son fils sera roi. »

1 Rois 21:1-29 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

Après ces choses, voici ce qui arriva. Naboth, de Jizreel, avait une vigne à Jizreel, à côté du palais d'Achab, roi de Samarie. Et Achab parla ainsi à Naboth: Cède-moi ta vigne, pour que j'en fasse un jardin potager, car elle est tout près de ma maison. Je te donnerai à la place une vigne meilleure; ou, si cela te convient, je te paierai la valeur en argent. Mais Naboth répondit à Achab: Que l'Eternel me garde de te donner l'héritage de mes pères! Achab rentra dans sa maison, triste et irrité, à cause de cette parole que lui avait dite Naboth de Jizreel: Je ne te donnerai pas l'héritage de mes pères! Et il se coucha sur son lit, détourna le visage, et ne mangea rien. Jézabel, sa femme, vint auprès de lui, et lui dit: Pourquoi as-tu l'esprit triste et ne manges-tu point? Il lui répondit: J'ai parlé à Naboth de Jizreel, et je lui ai dit: Cède-moi ta vigne pour de l'argent; ou, si tu veux, je te donnerai une autre vigne à la place. Mais il a dit: Je ne te donnerai pas ma vigne! Alors Jézabel, sa femme, lui dit: Est-ce bien toi maintenant qui exerces la souveraineté sur Israël? Lève-toi, prends de la nourriture, et que ton cœur se réjouisse; moi, je te donnerai la vigne de Naboth de Jizreel. Et elle écrivit au nom d'Achab des lettres qu'elle scella du sceau d'Achab, et qu'elle envoya aux anciens et aux magistrats qui habitaient avec Naboth dans sa ville. Voici ce qu'elle écrivit dans ces lettres: Publiez un jeûne; placez Naboth à la tête du peuple, et mettez en face de lui deux méchants hommes qui déposeront ainsi contre lui: Tu as maudit Dieu et le roi! Puis menez-le dehors, lapidez-le, et qu'il meure. Les gens de la ville de Naboth, les anciens et les magistrats qui habitaient dans la ville, agirent comme Jézabel le leur avait fait dire, d'après ce qui était écrit dans les lettres qu'elle leur avait envoyées. Ils publièrent un jeûne, et ils placèrent Naboth à la tête du peuple; les deux méchants hommes vinrent se mettre en face de lui, et ces méchants hommes déposèrent ainsi devant le peuple contre Naboth: Naboth a maudit Dieu et le roi! Puis ils le menèrent hors de la ville, ils le lapidèrent, et il mourut. Et ils envoyèrent dire à Jézabel: Naboth a été lapidé, et il est mort. Lorsque Jézabel apprit que Naboth avait été lapidé et qu'il était mort, elle dit à Achab: Lève-toi, prends possession de la vigne de Naboth de Jizreel, qui a refusé de te la céder pour de l'argent; car Naboth n'est plus en vie, il est mort. Achab, entendant que Naboth était mort, se leva pour descendre à la vigne de Naboth de Jizreel, afin d'en prendre possession. Alors la parole de l'Eternel fut adressée à Elie, le Thischbite, en ces mots: Lève-toi, descends au-devant d'Achab, roi d'Israël à Samarie; le voilà dans la vigne de Naboth, où il est descendu pour en prendre possession. Tu lui diras: Ainsi parle l'Eternel: N'es-tu pas un assassin et un voleur? Et tu lui diras: Ainsi parle l'Eternel: Au lieu même où les chiens ont léché le sang de Naboth, les chiens lécheront aussi ton propre sang. Achab dit à Elie: M'as-tu trouvé, mon ennemi? Et il répondit: Je t'ai trouvé, parce que tu t'es vendu pour faire ce qui est mal aux yeux de l'Eternel. Voici, je vais faire venir le malheur sur toi; je te balaierai, j'exterminerai quiconque appartient à Achab, celui qui est esclave et celui qui est libre en Israël, et je rendrai ta maison semblable à la maison de Jéroboam, fils de Nebath, et à la maison de Baescha, fils d'Achija, parce que tu m'as irrité et que tu as fais pécher Israël. L'Eternel parle aussi sur Jézabel, et il dit: Les chiens mangeront Jézabel près du rempart de Jizreel. Celui de la maison d'Achab qui mourra dans la ville sera mangé par les chiens, et celui qui mourra dans les champs sera mangé par les oiseaux du ciel. Il n'y a eu personne qui se soit vendu comme Achab pour faire ce qui est mal aux yeux de l'Eternel, et Jézabel, sa femme, l'y excitait. Il a agi de la manière la plus abominable, en allant après les idoles, comme le faisaient les Amoréens, que l'Eternel chassa devant les enfants d'Israël. Après avoir entendu les paroles d'Elie, Achab déchira ses vêtements, il mit un sac sur son corps, et il jeûna; il couchait avec ce sac, et il marchait lentement. Et la parole de l'Eternel fut adressée à Elie, le Thischbite, en ces mots: As-tu vu comment Achab s'est humilié devant moi? Parce qu'il s'est humilié devant moi, je ne ferai pas venir le malheur pendant sa vie; ce sera pendant la vie de son fils que je ferai venir le malheur sur sa maison.

1 Rois 21:1-29 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Quelque temps après ces événements, voici ce qui arriva : Naboth, un habitant de Jizréel, possédait une vigne à Jizréel, près du palais d’Achab, roi de Samarie. Achab fit à Naboth la proposition suivante : Cède-moi ta vigne. Je voudrais en faire un jardin potager, car elle est juste à côté de mon palais. Je te donnerai en échange une vigne meilleure ou, si tu préfères, je t’en paierai la valeur en argent. Mais Naboth répondit à Achab : Que l’Eternel me garde de te céder la propriété héritée de mes ancêtres  ! Achab rentra chez lui, maussade et abattu, parce que Naboth de Jizréel lui avait dit qu’il ne lui céderait pas la propriété héritée de ses ancêtres. Il se jeta sur son lit, tourna le visage contre le mur et refusa de manger. Sa femme Jézabel vint le trouver et lui demanda : Pourquoi es-tu de si mauvaise humeur et refuses-tu de manger ? Il lui répondit : J’ai parlé à Naboth de Jizréel et je lui ai proposé de lui acheter sa vigne ou, s’il préférait, de l’échanger contre une autre. Mais il a répondu : « Je ne te céderai pas ma vigne ! » Alors sa femme Jézabel lui dit : Est-ce toi qui exerces la royauté sur Israël ? Allons ! Lève-toi, mange et réjouis-toi : la vigne de Naboth de Jizréel, je vais te la donner. Elle écrivit des lettres au nom d’Achab, les scella du sceau royal et les fit porter aux responsables et aux magistrats de la ville où demeurait Naboth. Dans ces lettres, elle leur ordonnait : « Proclamez un jour de jeûne. Installez Naboth au premier rang de l’assemblée et faites asseoir en face de lui deux vauriens qui l’accuseront d’avoir maudit Dieu et le roi ! Puis menez-le en dehors de la ville et lapidez-le pour le faire mourir. » Les gens de la ville de Naboth, les responsables et les magistrats, concitoyens de Naboth, obéirent à l’ordre de Jézabel et firent ce qu’elle demandait dans les lettres qu’elle leur avait envoyées. Ils proclamèrent un jeûne et firent asseoir Naboth au premier rang de l’assemblée. Les deux vauriens vinrent se placer en face de lui et se mirent à l’accuser devant tout le monde en disant : Naboth a maudit Dieu et le roi ! Alors on le fit sortir de la ville et on le lapida et il mourut. Puis les autorités de la ville envoyèrent dire à Jézabel : Naboth a été lapidé ; il est mort. Lorsque Jézabel apprit que Naboth avait été lapidé et qu’il était mort, elle dit à Achab : Lève-toi, va prendre possession de la vigne de Naboth de Jizréel qui a refusé de te la vendre, car Naboth n’est plus en vie ; il est mort. Lorsqu’il entendit que Naboth était mort, Achab se mit en route pour se rendre à la vigne de Naboth de Jizréel afin d’en prendre possession. Alors l’Eternel adressa la parole à Elie de Tishbé en ces termes : Mets-toi en route, va trouver Achab, le roi d’Israël, qui vit à Samarie. En ce moment, il se trouve dans la vigne de Naboth où il est allé pour en prendre possession. Tu lui parleras en ces termes : « Voici ce que déclare l’Eternel : Quoi ? Après avoir assassiné l’homme, tu prétends prendre possession de ses biens ! » Tu ajouteras : « Voici ce que déclare l’Eternel : A l’endroit même où les chiens ont léché le sang de Naboth, ils lécheront aussi le tien. » En voyant Elie, Achab s’écria : Ah ! Te voilà, mon ennemi ! Tu m’as donc retrouvé ! Elie répondit : Oui, je t’ai retrouvé parce que tu t’es vendu toi-même au mal en faisant ce qui déplaît à l’Eternel. Eh bien, voici ce qu’il déclare : « Je vais te frapper d’un grand malheur : je te balaierai de la surface de la terre, toi et ta descendance, je retrancherai d’Israël tous les hommes de ta famille, qu’ils soient esclaves ou hommes libres. Je traiterai ta famille comme celle de Jéroboam, fils de Nebath, et celle de Baésha, fils d’Ahiya, parce que tu m’as irrité et que tu as entraîné Israël dans le péché. » L’Eternel annonce aussi quelque chose concernant Jézabel : les chiens la dévoreront près du rempart de Jizréel. Tout membre de ta famille, Achab, qui mourra dans la ville sera mangé par les chiens, et celui qui mourra dans la campagne sera déchiqueté par les rapaces. En vérité, personne ne s’était jamais vendu au mal autant qu’Achab en faisant ce que l’Eternel considère comme mal. C’est que sa femme Jézabel l’y poussait. Il agit de façon abominable en adoptant le culte des idoles, tout comme les Amoréens que l’Eternel avait dépossédés en faveur des Israélites. Après avoir entendu les paroles d’Elie, Achab déchira ses vêtements en signe d’humiliation, il revêtit un habit de toile de sac à même la peau et refusa de manger ; la nuit, il dormait dans ce vêtement ; et le jour, il se traînait à pas lents. Alors l’Eternel adressa de nouveau la parole à Elie de Tishbé. Il lui dit : As-tu vu comment Achab s’est humilié devant moi ? Puisqu’il s’est humilié ainsi, je ne ferai pas venir le malheur pendant sa vie, mais c’est durant le règne de son fils que j’amènerai la catastrophe sur sa famille.

1 Rois 21:1-29 La Bible Segond 21 (S21)

Après ces événements, voici ce qui arriva. Un certain Naboth, de Jizreel, avait une vigne à Jizreel, à côté du palais d'Achab, roi de Samarie. Achab ordonna à Naboth: «Donne-moi ta vigne, pour que j'en fasse un jardin potager, car elle est tout près de ma maison. Je te donnerai à la place une vigne meilleure ou, si tu préfères, je te paierai sa valeur en argent.» Mais Naboth répondit à Achab: «Que l'Eternel me garde de te donner l'héritage de mes ancêtres!» Achab rentra chez lui, triste et irrité, à cause de cette réponse que lui avait faite Naboth de Jizreel: «Je ne te donnerai pas l'héritage de mes ancêtres!» Il se coucha sur son lit, tourna son visage contre le mur et ne mangea rien. Sa femme Jézabel vint le trouver et lui dit: «Pourquoi es-tu triste et ne manges-tu pas?» Il lui répondit: «C'est parce que j'ai parlé à Naboth de Jizreel et que je lui ai dit: ‘Donne-moi ta vigne pour de l'argent ou, si tu veux, je te donnerai une autre vigne à la place.’ Mais il a répondu: ‘Je ne te donnerai pas ma vigne!’» Alors sa femme Jézabel lui dit: «Est-ce bien toi maintenant qui es roi d'Israël? Lève-toi, prends de la nourriture et que ton cœur se réjouisse. C'est moi qui vais te donner la vigne de Naboth de Jizreel.» Elle écrivit alors, au nom d'Achab, des lettres qu'elle marqua de l'empreinte du roi, puis elle les envoya aux anciens et aux magistrats qui étaient concitoyens de Naboth. Voici ce qu'elle écrivit dans ces lettres: «Proclamez un jeûne. Placez Naboth au premier rang du peuple et mettez en face de lui deux vauriens qui témoigneront contre lui en prétendant qu'il a maudit Dieu et le roi. Puis conduisez-le à l'extérieur de la ville et lapidez-le jusqu'à ce qu'il meure.» Les hommes de la ville de Naboth, les anciens et les magistrats qui étaient ses concitoyens, agirent comme Jézabel le leur avait fait dire. Ils se conformèrent à ce qui était écrit dans les lettres qu'elle leur avait envoyées. Ils proclamèrent un jeûne et placèrent Naboth au premier rang du peuple; les deux vauriens vinrent se mettre en face de lui et témoignèrent contre Naboth devant le peuple en prétendant qu'il avait maudit Dieu et le roi. Puis ils le conduisirent à l'extérieur de la ville et le lapidèrent jusqu'à ce qu'il meure. Ils firent alors dire à Jézabel: «Naboth a été lapidé et il est mort.» Lorsque Jézabel apprit la nouvelle, elle dit à Achab: «Lève-toi, prends possession de la vigne de Naboth de Jizreel, qui avait refusé de te la céder pour de l'argent. En effet, Naboth n'est plus en vie, il est mort.» Dès qu'il apprit que Naboth de Jizreel était mort, Achab se leva pour descendre à sa vigne afin d'en prendre possession. Alors la parole de l'Eternel fut adressée à Elie le Thishbite: «Lève-toi, descends à la rencontre d'Achab, le roi d'Israël, qui se trouve à Samarie. Le voilà dans la vigne de Naboth, où il est descendu pour en prendre possession. Tu lui annonceras: ‘Voici ce que dit l'Eternel: N'es-tu pas un assassin et un voleur?’ Et tu ajouteras: ‘Voici ce que dit l'Eternel: A l'endroit même où les chiens ont léché le sang de Naboth, ils lécheront aussi ton propre sang.’» Achab dit à Elie: «Tu m'as donc retrouvé, mon ennemi?» Il répondit: «Je t'ai retrouvé parce que tu t'es toi-même vendu pour faire ce qui est mal aux yeux de l'Eternel. Je vais faire venir le malheur sur toi. Je vais te balayer, je vais exterminer tout homme qui appartient à Achab, qu'il soit esclave ou libre en Israël. Je vais rendre ta famille pareille à celle de Jéroboam, fils de Nebath, et à celle de Baesha, fils d'Achija, parce que tu m'as irrité et que tu as fais pécher Israël. L'Eternel parle aussi à Jézabel. Il dit: ‘Les chiens mangeront Jézabel près du rempart de Jizreel. Le membre de la famille d'Achab qui mourra dans la ville sera mangé par les chiens, et celui qui mourra dans les champs sera mangé par les oiseaux.’» Il n'y a eu personne qui se soit lui-même vendu comme Achab pour faire ce qui est mal aux yeux de l'Eternel, et sa femme Jézabel l'y poussait. Il a agi de la manière la plus abominable en suivant les idoles, comme le faisaient les Amoréens, ces peuples que l'Eternel avait dépossédés devant les Israélites. Après avoir entendu les paroles d'Elie, Achab déchira ses habits, se couvrit d'un sac à même la peau et jeûna. Il dormait avec ce sac et il marchait tout lentement. La parole de l'Eternel fut adressée à Elie le Thishbite: «As-tu vu qu'Achab s'est humilié devant moi? Eh bien, parce qu'il s'est humilié devant moi, je ne ferai pas venir le malheur durant sa vie. Ce sera pendant la vie de son fils que je ferai venir le malheur sur sa famille.»

1 Rois 21:1-29 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

Après ces choses, voici ce qui arriva. Naboth, de Jizreel, avait une vigne à Jizreel, à côté du palais d’Achab, roi de Samarie. Et Achab parla ainsi à Naboth: Cède-moi ta vigne, pour que j’en fasse un jardin potager, car elle est tout près de ma maison. Je te donnerai à la place une vigne meilleure; ou, si cela te convient, je te paierai la valeur en argent. Mais Naboth répondit à Achab: Que l’Éternel me garde de te donner l’héritage de mes pères! Achab rentra dans sa maison, triste et irrité, à cause de cette parole que lui avait dite Naboth de Jizreel: Je ne te donnerai pas l’héritage de mes pères! Et il se coucha sur son lit, détourna le visage, et ne mangea rien. Jézabel, sa femme, vint auprès de lui, et lui dit: Pourquoi as-tu l’esprit triste et ne manges-tu point? Il lui répondit: J’ai parlé à Naboth de Jizreel, et je lui ai dit: Cède-moi ta vigne pour de l’argent; ou, si tu veux, je te donnerai une autre vigne à la place. Mais il a dit: Je ne te donnerai pas ma vigne! Alors Jézabel, sa femme, lui dit: Est-ce bien toi maintenant qui exerces la souveraineté sur Israël? Lève-toi, prends de la nourriture, et que ton cœur se réjouisse; moi, je te donnerai la vigne de Naboth de Jizreel. Et elle écrivit au nom d’Achab des lettres qu’elle scella du sceau d’Achab, et qu’elle envoya aux anciens et aux magistrats qui habitaient avec Naboth dans sa ville. Voici ce qu’elle écrivit dans ces lettres: Publiez un jeûne; placez Naboth à la tête du peuple, et mettez en face de lui deux méchants hommes qui déposeront ainsi contre lui: Tu as maudit Dieu et le roi! Puis menez-le dehors, lapidez-le, et qu’il meure. Les gens de la ville de Naboth, les anciens et les magistrats qui habitaient dans la ville, agirent comme Jézabel le leur avait fait dire, d’après ce qui était écrit dans les lettres qu’elle leur avait envoyées. Ils publièrent un jeûne, et ils placèrent Naboth à la tête du peuple; les deux méchants hommes vinrent se mettre en face de lui, et ces méchants hommes déposèrent ainsi devant le peuple contre Naboth: Naboth a maudit Dieu et le roi! Puis ils le menèrent hors de la ville, ils le lapidèrent, et il mourut. Et ils envoyèrent dire à Jézabel: Naboth a été lapidé, et il est mort. Lorsque Jézabel apprit que Naboth avait été lapidé et qu’il était mort, elle dit à Achab: Lève-toi, prends possession de la vigne de Naboth de Jizreel, qui a refusé de te la céder pour de l’argent; car Naboth n’est plus en vie, il est mort. Achab, entendant que Naboth était mort, se leva pour descendre à la vigne de Naboth de Jizreel, afin d’en prendre possession. Alors la parole de l’Éternel fut adressée à Élie, le Thischbite, en ces mots: Lève-toi, descends au-devant d’Achab, roi d’Israël à Samarie; le voilà dans la vigne de Naboth, où il est descendu pour en prendre possession. Tu lui diras: Ainsi parle l’Éternel: N’es-tu pas un assassin et un voleur? Et tu lui diras: Ainsi parle l’Éternel: Au lieu même où les chiens ont léché le sang de Naboth, les chiens lécheront aussi ton propre sang. Achab dit à Élie: M’as-tu trouvé, mon ennemi? Et il répondit: Je t’ai trouvé, parce que tu t’es vendu pour faire ce qui est mal aux yeux de l’Éternel. Voici, je vais faire venir le malheur sur toi; je te balaierai, j’exterminerai quiconque appartient à Achab, celui qui est esclave et celui qui est libre en Israël, et je rendrai ta maison semblable à la maison de Jéroboam, fils de Nebath, et à la maison de Baescha, fils d’Achija, parce que tu m’as irrité et que tu as fait pécher Israël. L’Éternel parle aussi sur Jézabel, et il dit: Les chiens mangeront Jézabel près du rempart de Jizreel. Celui de la maison d’Achab qui mourra dans la ville sera mangé par les chiens, et celui qui mourra dans les champs sera mangé par les oiseaux du ciel. Il n’y a eu personne qui se soit vendu comme Achab pour faire ce qui est mal aux yeux de l’Éternel, et Jézabel, sa femme, l’y excitait. Il a agi de la manière la plus abominable, en allant après les idoles, comme le faisaient les Amoréens, que l’Éternel chassa devant les enfants d’Israël. Après avoir entendu les paroles d’Élie, Achab déchira ses vêtements, il mit un sac sur son corps, et il jeûna; il couchait avec ce sac, et il marchait lentement. Et la parole de l’Éternel fut adressée à Élie, le Thischbite, en ces mots: As-tu vu comment Achab s’est humilié devant moi? Parce qu’il s’est humilié devant moi, je ne ferai pas venir le malheur pendant sa vie; ce sera pendant la vie de son fils que je ferai venir le malheur sur sa maison.

1 Rois 21:1-29 Bible en français courant (BFC)

Après ces événements, voici ce qui arriva: Il y avait à Jizréel un homme appelé Naboth; il possédait dans cette ville une vigne, tout près d'un palais appartenant à Achab, roi de Samarie. Un jour, Achab dit à Naboth: «Cède-moi ta vigne pour que je puisse m'en faire un jardin potager, puisqu'elle est juste à côté de mon palais; en échange, je te donnerai une vigne bien meilleure, ou si tu préfères, je t'en payerai le prix.» Mais Naboth lui répondit: «Je n'ai pas le droit devant le Seigneur de te céder la vigne que j'ai héritée de mes ancêtres!» Achab s'en retourna chez lui, déçu et furieux à cause de cette réponse de Naboth: «Je ne te céderai pas ce que j'ai hérité de mes ancêtres.» Il se coucha sur son lit, se tourna contre le mur et ne voulut plus rien manger. Sa femme Jézabel vint le trouver et lui demanda: «Pourquoi es-tu de mauvaise humeur? Pourquoi ne veux-tu rien manger?» – «J'ai parlé à Naboth, de Jizréel, répondit-il; je lui ai dit: “Cède-moi ta vigne contre de l'argent, ou si tu préfères, je te donnerai une autre vigne en échange”, mais il m'a répondu: “Je ne te céderai pas ma vigne.” » Jézabel lui dit alors: «Vraiment, tu oublies que tu es le roi d'Israël! Relève-toi! Mange et réjouis-toi! C'est moi qui vais te donner la vigne de Naboth, de Jizréel.» Elle écrivit des lettres au nom du roi Achab, elle les marqua avec le cachet royal et elle les fit porter aux anciens et aux autorités de la ville où habitait Naboth. Dans ces lettres, elle avait écrit ceci: «Convoquez la population à une cérémonie de jeûne, et demandez à Naboth de présider cette assemblée. En face de lui, placez deux vauriens, qui l'accuseront d'avoir maudit Dieu et le roi. Ensuite conduisez-le hors de la ville et jetez-lui des pierres jusqu'à ce qu'il meure.» Les anciens et les autorités de la ville de Naboth firent ce que Jézabel leur avait ordonné dans ses lettres. Ils convoquèrent la population à une cérémonie de jeûne et demandèrent à Naboth de présider cette assemblée. Les deux vauriens vinrent se placer en face de Naboth et se mirent à l'accuser devant tout le monde en disant: «Naboth a maudit Dieu et le roi!» Aussitôt, on le conduisit hors de la ville et on lui jeta des pierres jusqu'à ce qu'il meure. Alors les autorités de la ville envoyèrent un messager informer Jézabel que Naboth avait été exécuté et qu'il était mort. Lorsque Jézabel apprit cela, elle alla dire à Achab: «Va prendre possession de la vigne que Naboth, de Jizréel, refusait de te vendre: il est mort.» A cette nouvelle, Achab se rendit à la vigne de Naboth et en prit possession. Alors le Seigneur adressa la parole au prophète Élie, de Tichebé: «Rends-toi auprès d'Achab, le roi d'Israël qui réside à Samarie, lui dit-il. Il se trouve dans la vigne de Naboth, où il est allé pour en prendre possession. Va lui dire: Voici ce que déclare le Seigneur: “Ainsi, tu as assassiné quelqu'un, et tu viens maintenant prendre possession de ses biens!” Puis tu ajouteras: Voici ce que déclare encore le Seigneur: “A l'endroit même où les chiens ont léché le sang de Naboth, les chiens lécheront aussi ton propre sang.” » Élie alla porter ce message à Achab, qui lui dit: «Eh bien, mon ennemi, tu m'as retrouvé!» – «Oui, je t'ai retrouvé, dit Élie. Et puisque tu as pris plaisir à faire ce qui déplaît au Seigneur, voici ce qu'il déclare: “Je vais envoyer le malheur sur toi; je te ferai disparaître, j'exterminerai d'Israël tous les hommes de ta parenté, enfants et adultes. Je traiterai ta famille comme j'ai traité celle de Jéroboam, fils de Nebath, et celle de Bacha, fils d'Ahia, parce que tu m'as grandement irrité et que tu as poussé le peuple d'Israël à pécher.” Et, ajouta Élie, le Seigneur a aussi parlé contre Jézabel en déclarant: “Les chiens dévoreront Jézabel au pied de la muraille de Jizréel.” De plus, roi Achab, tout membre de ta famille qui mourra dans la ville sera dévoré par les chiens, et celui qui mourra dans la campagne sera déchiqueté par les vautours.» On n'a certainement jamais vu personne prendre autant de plaisir que le roi Achab à faire ce qui déplaît au Seigneur; c'est qu'il y était poussé par sa femme Jézabel. Il a agi d'une façon particulièrement abominable lorsqu'il adorait des idoles, tout comme les Amorites que le Seigneur avait chassés pour faire place au peuple d'Israël. Lorsque le roi Achab eut entendu le message du Seigneur, il s'humilia en déchirant ses vêtements, en portant une étoffe grossière directement sur la peau et en jeûnant; il gardait sur lui cette étoffe grossière même pour dormir, et il marchait à pas lents. Alors le Seigneur adressa la parole à Élie, de Tichebé: «Regarde combien Achab est devenu humble devant moi, dit-il. Puisqu'il s'est humilié ainsi, je n'enverrai pas le malheur sur sa famille pendant son règne, mais pendant celui de son fils.»