Kantik 2:7-17
Kantik 2:7-17 1998 Haïtienne (HAT98)
Nou menm, medam lavil Jerizalèm, Tanpri, tanpri souple! Fè mwen sèman sou tèt gazèl bèf, Sou tèt fenmèl kabrit ki lage nan savann yo. Pa deranje anmourèz mwen lè l'ap dòmi. Pa reveye li anvan lè. Mwen tande vwa mennaj mwen! Men l'ap vini. Li sòti sou mòn yo, l'ap kouri desann timòn yo vin jwenn mwen. Mennaj mwen tankou yon kabrit, tankou yon jenn ti kabrit. Men li la dèyè miray kay la. L'ap gade nan fennèt la, l'ap veye nan jalouzi a pou wè sa m'ap fè. Mennaj mwen pale avè m, li di m: Vini non, anmourèz mwen! Ann al avè m non, bèl nègès mwen! Gade! Sezon fredi pase, lapli sispann tonbe. Nan tout jaden, flè yo louvri. Se sezon ou tande chante toupatou. Toutrèl gentan ap chante nan bwa. Fig frans konmanse mi. Nou ka pran sant flè pye rezen yo. Vini non, anmourèz mwen! Ann al avè m non, bèl nègès mwen! Ti toutrèl mwen, ou kache nan fant wòch yo, Anba gwo wòch byen wo yo. Moutre m' ti figi ou non! Fè m' tande vwa ou. Ala bèl ou bèl! Ala dous vwa ou dous! Kenbe vòlò yo, kenbe ti vòlò yo anvan yo ravaje jaden rezen nou yo, jaden rezen nou yo k'ap fleri. Mennaj mwen, se pou mwen li ye! Mwen menm, se pou li mwen ye! L'ap fè mouton l yo manje nan mitan pye wòz yo. Anvan labrin tonbe, anvan solèy vin kouche, kouri tounen vin jwenn mwen, mennaj mwen, tankou yon kabrit, tankou yon jenn ti kabrit k'ap kouri sou mòn byen wo yo.
Kantik 2:7-17 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Filles de Jérusalem, je vous en supplie, au nom des gazelles et des biches des champs, ne réveillez pas mon amour, ne la dérangez pas avant qu’elle donne son accord. J’entends celui que j’aime. Le voici : il vient. Il bondit sur les montagnes, il saute sur les collines. Celui que j’aime ressemble à une gazelle ou au petit de la biche. Le voici : il s’arrête derrière le mur de notre maison. Il regarde par la fenêtre, il guette à travers le grillage. Il me dit : « Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! La mauvaise saison est finie, la pluie ne tombe plus, elle s’en est allée. Sur la terre, les fleurs paraissent, c’est le temps des chansons. Dans les champs, voici la voix de la tourterelle . Les figues vertes mûrissent déjà, les vignes en fleur répandent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! Ma colombe, cachée dans les fentes du rocher, dans les trous des hautes pierres. Montre-moi ton visage, fais-moi entendre ta voix. Ta voix est si agréable, et ton visage est si beau. » Attrapez pour nous les renards, les petits renards qui abîment les vignes. C’est le moment où nos vignes sont en fleur. Celui que j’aime est à moi, et je suis à lui. Il conduit son troupeau parmi les lys en fleurs. Avant que se lève le souffle du soir, quand l’ombre s’étend sur la terre, reviens, toi que j’aime. Cours comme la gazelle ou le petit de la biche sur les montagnes séparées.
Kantik 2:7-17 New International Version (NIV)
Daughters of Jerusalem, I charge you by the gazelles and by the does of the field: Do not arouse or awaken love until it so desires. Listen! My beloved! Look! Here he comes, leaping across the mountains, bounding over the hills. My beloved is like a gazelle or a young stag. Look! There he stands behind our wall, gazing through the windows, peering through the lattice. My beloved spoke and said to me, “Arise, my darling, my beautiful one, come with me. See! The winter is past; the rains are over and gone. Flowers appear on the earth; the season of singing has come, the cooing of doves is heard in our land. The fig tree forms its early fruit; the blossoming vines spread their fragrance. Arise, come, my darling; my beautiful one, come with me.” My dove in the clefts of the rock, in the hiding places on the mountainside, show me your face, let me hear your voice; for your voice is sweet, and your face is lovely. Catch for us the foxes, the little foxes that ruin the vineyards, our vineyards that are in bloom. My beloved is mine and I am his; he browses among the lilies. Until the day breaks and the shadows flee, turn, my beloved, and be like a gazelle or like a young stag on the rugged hills.
Kantik 2:7-17 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
O filles de Jérusalem, ╵oh, je vous en conjure par les gazelles ╵ou par les biches ╵de la campagne : n’éveillez pas, ╵non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille. J’entends mon bien-aimé, oui, le voici, il vient, sautant sur les montagnes et bondissant sur les collines. Mon bien-aimé ressemble ╵à la gazelle ou à un jeune cerf. Le voici : il est là, ╵derrière notre mur, guettant par les fenêtres et lançant des regards ╵à travers les treillis. Mon bien-aimé me parle, et il me dit : “Lève-toi, mon amie, ╵viens donc, ma belle, car l’hiver est passé et les pluies ont cessé, ╵leur saison est finie. On voit des fleurs éclore ╵à travers le pays, et le temps de chanter ╵est revenu. La voix des tourterelles ╵retentit dans nos champs. Sur les figuiers, ╵les premiers fruits mûrissent. La vigne en fleur ╵exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, ╵et viens, ╵oui, viens, ma belle.” Ma colombe nichée ╵aux fentes du rocher, cachée au plus secret ╵des parois escarpées, fais-moi voir ton visage et entendre ta voix, car ta voix est bien douce ╵et ton visage est beau. Prenez-nous les renards, oui, les petits renards ╵qui ravagent nos vignes quand elles sont en fleur. Mon bien-aimé, il est à moi, ╵et moi, je suis à lui, il paît parmi les lis. Et quand viendra la brise à la tombée du jour, et quand s’estomperont les ombres, reviens, ô toi mon bien-aimé, pareil à la gazelle ╵ou à un jeune faon sur les monts escarpés.