Kantik 1:1-11

Kantik 1:1-11 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Le plus beau de tous les chants. Il appartient aux écrits de Salomon. Couvre-moi des baisers de ta bouche. Ta tendresse est plus délicieuse que le vin, plus agréable que l’odeur de tes parfums. Tu plais comme un parfum délicat. C’est pourquoi les jeunes filles sont amoureuses de toi. Entraîne-moi avec toi, courons ensemble ! Mon roi, conduis-moi dans ta chambre. Alors grâce à toi, nous serons fous de bonheur. Nous chanterons ta tendresse plus délicieuse que le vin. Oui, les jeunes filles ont bien raison de t’aimer. Filles de Jérusalem, ma peau est brune mais je suis jolie comme les tentes des nomades, comme les beaux rideaux des palais. Ne faites pas attention à ma peau brune, c’est le soleil qui m’a dorée. Mes frères étaient en colère contre moi, ils m’ont forcée à garder les vignes. Mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée. Toi que mon cœur aime, dis-moi : où conduis-tu ton troupeau ? Dis-moi : où le fais-tu reposer à midi ? Ainsi je n’aurai pas l’air de courir partout, près des troupeaux de tes camarades. Si tu ne le sais pas, toi la plus belle des femmes, suis les traces des moutons, et conduis tes petites chèvres près des abris des bergers. Mon amie, je te compare au cheval magnifique qui conduit le char du roi d’Égypte. Entre tes longues boucles d’oreilles, tes joues sont jolies. Ton cou est beau au milieu des colliers. Nous te ferons des boucles d’or avec des points d’argent.

Kantik 1:1-11 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Le plus beau des chants, composé par Salomon. « Ah ! que ta bouche ╵me couvre de baisers, car ton amour ╵est plus exaltant que le vin. Combien suaves ╵sont tes parfums, ton nom est comparable ╵à une huile odorante ╵qui se répand. Voilà pourquoi ╵les jeunes filles ╵sont éprises de toi. Entraîne-moi derrière toi ! ╵Courons ensemble ! » « Le roi m’a fait entrer ╵dans ses appartements. » « Réjouissons-nous, ╵soyons dans l’allégresse ╵à ton sujet ! Célébrons ton amour ╵plus exaltant que le bon vin ! C’est bien avec raison ╵qu’on est épris de toi. » « O filles de Jérusalem, ╵je suis noiraude, ╵et pourtant, je suis belle, pareille aux tentes de Qédar, ╵aux tentures de Salomon. Ne vous étonnez pas ╵si je suis bien brunie : le soleil m’a hâlée, car les fils de ma mère, ╵irrités contre moi, m’ont fait garder les vignes, oui, mais ma vigne à moi, ╵je ne l’ai pas gardée. O toi que mon cœur aime, dis-moi où tu fais paître ╵ton troupeau de brebis, où tu le feras reposer ╵à l’heure de midi, pour que je ne sois pas ╵comme une femme errante, rôdant près des troupeaux ╵que gardent tes compagnons. » « Si tu ne le sais pas, ╵ô toi, la plus belle des femmes, va donc suivre les traces ╵du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes ╵près des huttes des pâtres. » « O mon amie, ╵je te trouve pareille à une jument d’attelage ╵du pharaon. Tes joues sont belles ╵entre les perles, ton cou est beau ╵dans tes colliers ; nous te ferons ╵des perles d’or tout incrustées ╵de points d’argent. »