Sòm 22:14-18
Sòm 22:14-18 1998 Haïtienne (HAT98)
(15) Mwen pèdi tout fòs mwen, tankou dlo ki tonbe atè. Tout zo nan kò m dejwente. Mwen santi kè m ap kase, tout zantray mwen ap bouyi. (16) Fòs mwen ap cheche, tankou labou nan solèy. Lang mwen kole nan fon bouch mwen. Mwen santi m prèt pou mouri. (17) Tankou yon bann chen, mechan yo sènen m. Bann mechan yo fèmen m toupatou. Yo kraze de men m ak de pye m yo. (18) Tout zo nan kò m parèt. Y'ap gade m, y'ap veye m. (19) Y'ap separe rad mwen ant yo menm, y'ap tire osò pou rad mwen an.
Sòm 22:14-18 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Ils sont comme des lions, ils ouvrent leur gueule contre moi pour rugir et déchirer. Ma force s’en va comme l’eau qui coule, tous mes os se détachent. Mon cœur est comme la cire, il fond dans ma poitrine. Ma gorge est sèche comme un morceau de terre cuite, et ma langue reste collée dans ma bouche. Tu me mets déjà au bord de la tombe. Un groupe de bandits m’entourent, ils sont autour de moi comme des chiens. Ils m’ont percé les mains et les pieds. Je suis très maigre : on peut compter tous mes os. Mes ennemis me fixent attentivement.
Sòm 22:14-18 New International Version (NIV)
I am poured out like water, and all my bones are out of joint. My heart has turned to wax; it has melted within me. My mouth is dried up like a potsherd, and my tongue sticks to the roof of my mouth; you lay me in the dust of death. Dogs surround me, a pack of villains encircles me; they pierce my hands and my feet. All my bones are on display; people stare and gloat over me. They divide my clothes among them and cast lots for my garment.
Sòm 22:14-18 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Ils ouvrent largement ╵leurs gueules contre moi, ils sont comme un lion ╵qui rugit et déchire. Je suis comme une eau qui s’écoule et tous mes os sont disloqués. Mon cœur est pareil à la cire, on dirait qu’il se fond en moi. Ma force est desséchée ╵comme un tesson d’argile, ma langue colle à mon palais, tu me fais retourner ╵à la poussière de la mort. Des hordes de chiens m’environnent, la meute des méchants m’assaille. Ils ont percé mes mains, mes pieds, je pourrais compter tous mes os ; ils me regardent, ils me toisent