Sòm 139:1-16

Sòm 139:1-16 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

SEIGNEUR, tu regardes jusqu’au fond de mon cœur et tu me connais. Tu sais quand je m’assois et quand je me lève, longtemps à l’avance, tu sais ce que je pense. Tu sais quand je marche et quand je me couche, et tu connais toutes mes actions. Je n’ai pas encore ouvert la bouche, tu sais déjà tout ce que je vais dire ! Tu es derrière moi, tu es aussi devant moi, tu poses ta main sur moi. Tu me connais parfaitement. Pour moi, c’est trop beau, cela dépasse tout ce que je peux comprendre. Où aller loin de toi ? Où fuir loin de ton regard ? Si je monte au ciel, tu es là, si je me couche au milieu des morts, te voici. Si je m’envole sur les ailes du matin pour aller au-delà des mers, même là, tu me conduis par la main et tu me tiens solidement. Je peux dire : « Je veux me cacher complètement dans l’obscurité. Que le jour devienne nuit autour de moi ! » Mais pour toi, même l’obscurité est lumière, et la nuit est claire comme le jour. Obscurité ou lumière, pour toi c’est la même chose. C’est toi qui as créé ma conscience, c’est toi qui m’as tissé dans le ventre de ma mère. SEIGNEUR, je te dis merci parce que tu m’as créé. Oui, mon corps est étonnant et très beau. Ce que tu fais est magnifique, je le reconnais. Quand tu me formais dans le secret, quand tu me brodais dans la profondeur de la terre, tu voyais tout, rien n’était caché pour toi. J’étais à peine formé, tu me voyais déjà ! Déjà, tu avais écrit dans ton livre le nombre de jours que tu allais me donner, et pourtant, aucun n’avait encore commencé !

Sòm 139:1-16 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Eternel, ╵tu me sondes ╵et tu me connais. Toi, tu sais quand je m’assieds ╵et quand je me lève. De loin, tu discernes ╵tout ce que je pense. Tu sais quand je marche ╵et quand je me couche, et tous mes chemins ╵te sont familiers. Bien avant qu’un mot ╵vienne sur mes lèvres, Eternel, ╵tu sais déjà tout ╵ce que je vais dire. Tu m’entoures ╵par-derrière et par-devant, et tu mets ta main sur moi. Merveilleux savoir ╵hors de ma portée, savoir trop sublime ╵pour que je l’atteigne. Où pourrais-je aller ╵loin de ton Esprit ? Où pourrais-je fuir ╵hors de ta présence ? Si je monte au ciel ╵tu es là, et si je descends ╵au séjour des morts, ╵t’y voilà ! Si j’emprunte ╵les ailes de l’aube et que j’aille demeurer ╵aux confins des mers, là aussi ta main ╵me dirigera, ton bras droit ╵me tiendra. Et si je me dis : ╵« Du moins les ténèbres ╵m’envelopperont », alors la nuit même ╵se change en lumière ╵tout autour de moi. Pour toi, même les ténèbres ╵ne sont pas obscures et la nuit est claire ╵comme le plein jour : lumière ou ténèbres ╵pour toi sont pareilles. Tu m’as fait ce que je suis, et tu m’as tissé ╵dans le ventre de ma mère. Je te loue ╵d’avoir fait de moi ╵une créature ╵aussi merveilleuse : tu fais des merveilles, et je le reconnais bien. Mon corps n’était pas caché ╵à tes yeux quand, dans le secret, ╵je fus façonné et tissé ╵comme dans les profondeurs ╵de la terre. Je n’étais encore ╵qu’une masse informe, ╵mais tu me voyais et, dans ton registre, ╵se trouvaient déjà inscrits tous les jours ╵que tu m’avais destinés alors qu’aucun d’eux ╵n’existait encore.