Sòm 104:1-23

Sòm 104:1-23 1998 Haïtienne (HAT98)

Kite m di Senyè a mèsi! Senyè, Bondye mwen, ala gwo pouvwa ou gwo! Devan ou se respè, se chapo ba! Ou vlope kò ou nan yon gwo limyè. Ou louvri syèl la tankou yon tant pou ou rete. Ou bati kay ou sou nyaj yo ki plen dlo. Ou pran nyaj yo sèvi ou cha, yon kouran van ap pouse ou ale. Ou fè van yo pote komisyon pou ou. Ou fè zèklè yo tounen sèvitè ou. Ou mete latè kanpe fèm sou fondasyon li. Anyen pa ka brannen l. Ou mete lanmè sou li tankou yon rad, dlo te kouvri tout mòn yo. Men, lè ou parèt devan yo, yo pran kouri. Lè yo tande loray ou gwonde, yo met deyò. Yo kouri desann sou mòn yo, yo pase nan fon yo, y'al pran plas ou te pare pou yo. Ou ba yo limit pou yo pa janm depase, pou yo pa tounen vin kouvri latè ankò. Ou fè sous dlo koule nan fon yo. Ou fè dlo koule nan mitan mòn yo. Yo bay dlo pou bèt nan bwa yo bwè. Bourik nan bwa yo vin bwè lè yo swaf dlo. Zwazo fè nich sou pyebwa ki bò dlo yo. Y'ap chante byen fò nan tout branch yo. Ou rete nan syèl la, ou voye lapli wouze mòn yo. Ou kouvri tè a ak benediksyon ou. Ou fè zèb pouse pou bèt yo manje. Ou fè plant moun bezwen yo grandi pou latè ka donnen manje, pou latè ka donnen rezen ki bay diven pou fè kè lèzòm kontan, lwil pou fè figi yo fre, pen pou ba yo fòs. Pyebwa Senyè yo, pye sèd li menm li te plante nan peyi Liban an, yo jwenn tou sa yo bezwen. Se la zwazo fè nich yo. Sigòy fè kay yo sou tèt pyebwa yo. Mòn apik yo se pou kabrit mawon yo ye. Daman kache nan twou wòch yo. Ou te fè lalin pou l make jou yo. Solèy la konnen kilè pou l kouche. Ou fè fènwa tonbe sou peyi a, li lannwit. Tout bèt nan rakbwa yo sòti deyò. Jenn lyon yo ap gwonde, y'ap chache manje. Y'ap mande Bondye ba yo manje. Lè solèy leve, yo wete kò yo, y'al kouche nan twou yo. Moun sòti pou y'al travay, wi, pou y'al travay jouk solèy kouche.

Sòm 104:1-23 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Je veux remercier le SEIGNEUR ! SEIGNEUR mon Dieu, tu es très grand, tu es couvert de beauté et d’honneur. La lumière t’enveloppe comme un vêtement, tu étends le ciel comme une tente. Tu construis ta haute maison bien plus haut que le ciel. Tu prends pour char les nuages, tu avances sur les ailes du vent. Tu te sers des vents comme messagers, et des éclairs comme serviteurs. Tu as fixé la terre solidement, maintenant, elle ne tremblera plus jamais. Tu l’as couverte de la mer comme d’un vêtement, l’eau est montée au sommet des montagnes. Tu l’as menacée, elle s’est échappée. En entendant ton tonnerre, l’eau s’est enfuie. Elle est montée sur les montagnes, elle est descendue dans les vallées, à l’endroit que tu lui as fixé. Tu as placé une limite qu’elle ne doit pas dépasser. L’eau ne reviendra plus couvrir la terre. Tu envoies l’eau des sources dans les ravins, elle coule entre les montagnes. Toutes les bêtes des champs la boivent, les ânes sauvages calment leur soif. Les oiseaux ont leurs nids près de l’eau, et ils chantent dans les arbres. Du haut du ciel, tu arroses les montagnes et tu remplis la terre de tes bienfaits. Tu fais pousser l’herbe pour les troupeaux, tu fais grandir les plantes pour les humains. Ils les cultivent pour tirer de la terre leur nourriture : le vin réjouit leur cœur, il fait briller leur visage plus que l’huile, et le pain leur rend courage. Les arbres du SEIGNEUR, les cèdres du Liban qu’il a plantés, sont bien nourris. Les oiseaux font leurs nids dans leurs branches, la cigogne a sa maison dans les cyprès. Les hautes montagnes appartiennent aux chèvres sauvages, les rochers servent d’abri aux damans. Le SEIGNEUR a fait la lune pour marquer le temps, et le soleil qui connaît l’heure de son coucher. Tu envoies l’obscurité, et voici la nuit, le moment où se promènent les animaux de la forêt. Les jeunes lions rugissent, cherchant un animal à dévorer, ils demandent à Dieu leur nourriture. Puis le soleil se lève. Ils partent et vont se coucher dans leur abri. Les gens sortent de leur maison pour aller au travail et se fatiguer jusqu’au soir.

Sòm 104:1-23 New International Version (NIV)

Praise the LORD, my soul. LORD my God, you are very great; you are clothed with splendor and majesty. The LORD wraps himself in light as with a garment; he stretches out the heavens like a tent and lays the beams of his upper chambers on their waters. He makes the clouds his chariot and rides on the wings of the wind. He makes winds his messengers, flames of fire his servants. He set the earth on its foundations; it can never be moved. You covered it with the watery depths as with a garment; the waters stood above the mountains. But at your rebuke the waters fled, at the sound of your thunder they took to flight; they flowed over the mountains, they went down into the valleys, to the place you assigned for them. You set a boundary they cannot cross; never again will they cover the earth. He makes springs pour water into the ravines; it flows between the mountains. They give water to all the beasts of the field; the wild donkeys quench their thirst. The birds of the sky nest by the waters; they sing among the branches. He waters the mountains from his upper chambers; the land is satisfied by the fruit of his work. He makes grass grow for the cattle, and plants for people to cultivate— bringing forth food from the earth: wine that gladdens human hearts, oil to make their faces shine, and bread that sustains their hearts. The trees of the LORD are well watered, the cedars of Lebanon that he planted. There the birds make their nests; the stork has its home in the junipers. The high mountains belong to the wild goats; the crags are a refuge for the hyrax. He made the moon to mark the seasons, and the sun knows when to go down. You bring darkness, it becomes night, and all the beasts of the forest prowl. The lions roar for their prey and seek their food from God. The sun rises, and they steal away; they return and lie down in their dens. Then people go out to their work, to their labor until evening.

Sòm 104:1-23 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Que tout mon être ╵bénisse l’Eternel ! O Eternel, mon Dieu, que tu es grand ! Tu es revêtu de splendeur, ╵et de magnificence, tu t’enveloppes de lumière ╵comme on se revêt d’un manteau, et tu déploies le ciel ╵comme une tente. Tu fixes au-dessus des eaux du ciel ╵la charpente de tes hautes demeures, tu fais des nuages ton char, tu te déplaces ╵sur les ailes du vent, tu fais des vents tes messagers, les éclairs étincelants sont tes serviteurs. Tu as fondé la terre sur ses bases pour qu’elle reste inébranlable ╵à tout jamais. Les eaux de l’abîme la recouvraient ╵tout comme un vêtement, sur les montagnes les eaux reposaient ; à ta menace, ╵elles se sont enfuies, au bruit de ton tonnerre, ╵elles se sont vite élancées, gravissant des montagnes, ╵dévalant vers des plaines jusqu’à l’endroit ╵que tu leur avais assigné. Tu as fixé une limite ╵que les eaux ne franchiront plus, et elles ne reviendront plus ╵pour submerger la terre. Tu fais jaillir des sources ╵pour alimenter des torrents qui coulent entre les montagnes. Elles abreuvent ╵les animaux des champs, et les onagres ╵y étanchent leur soif. Les oiseaux nichent sur leurs rives, et chantent au sein du feuillage. De tes hautes demeures ╵tu arroses les monts, la terre est rassasiée ╵par l’effet de tes œuvres. Tu fais pousser l’herbe pour le bétail, et tu fais prospérer les plantes ╵cultivées par les hommes, afin qu’ils tirent de la terre ╵le pain pour se nourrir. Le vin réjouit le cœur de l’homme et fait resplendir son visage, ╵le rendant brillant plus que l’huile. Le pain restaure sa vigueur. Les arbres, ouvrages de l’Eternel, ╵sont pleins de sève. Tels sont les cèdres, ╵qu’il a plantés. C’est là que nichent les oiseaux et la cigogne a sa demeure ╵dans les cyprès. Les bouquetins ont leurs retraites ╵sur les monts élevés, et les rochers ╵sont le refuge des damans. Tu as formé la lune ╵pour marquer les dates des fêtes. Le soleil sait quand il se couche. Tu fais descendre les ténèbres, ╵et c’est la nuit. Alors les hôtes des forêts ╵se mettent tous en mouvement ; les lionceaux rugissent ╵après leur proie, ils demandent à Dieu ╵leur nourriture. Mais dès que paraît le soleil, ╵ils se retirent pour se coucher dans leurs tanières. Et l’homme sort ╵pour se livrer à son activité, accomplir son travail ╵jusqu’à la nuit.