Nonb 11:10-12
Nonb 11:10-12 1998 Haïtienne (HAT98)
Moyiz te tande jan pèp la t'ap plenyen, chak moun ak fanmi yo devan papòt tant yo. Senyè a te fache anpil sou moun yo. Sa te fè Moyiz lapenn. Lè sa a, Moyiz di Senyè a konsa: — Poukisa ou aji mal avè m konsa? Kisa m fè ki pa fè ou plezi? Poukisa ou mete tout pèp sa a sou kont mwen? Eske se mwen ki papa yo? Eske se mwen ki manman yo? Poukisa w'ap mande m pou mwen pote yo sou lestonmak mwen tankou nouris k'ap bay timoun tete, jouk yo rive nan peyi ou te pwomèt zansèt yo ou t'ap ba yo a?
Nonb 11:10-12 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Les Israélites sont groupés par familles à l’entrée de leurs tentes. Moïse les entend se plaindre. Alors le SEIGNEUR se met dans une violente colère. Et Moïse n’est pas content du tout. Il demande au SEIGNEUR : « Pourquoi est-ce que tu me fais du mal ? Tu ne me montres plus ta bonté. Pourquoi donc ? Ce peuple qu’il faut diriger est une charge très lourde. Pourquoi est-ce que tu m’as obligé à la porter ? Qui a donné la vie à ce peuple ? Qui l’a mis au monde ? Ce n’est pas moi ! Et pourtant, tu m’as donné cet ordre : “Porte ce peuple comme on porte un bébé, et conduis-le dans le pays que j’ai promis par serment à ses ancêtres.”
Nonb 11:10-12 New International Version (NIV)
Moses heard the people of every family wailing at the entrance to their tents. The LORD became exceedingly angry, and Moses was troubled. He asked the LORD, “Why have you brought this trouble on your servant? What have I done to displease you that you put the burden of all these people on me? Did I conceive all these people? Did I give them birth? Why do you tell me to carry them in my arms, as a nurse carries an infant, to the land you promised on oath to their ancestors?
Nonb 11:10-12 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Chaque famille se lamentait à l’entrée de sa tente. Moïse entendit le peuple pleurer, et l’Eternel entra dans une grande colère. Moïse en fut très affecté. Il dit à l’Eternel : Pourquoi fais-tu du mal à ton serviteur ? Pourquoi ne m’accordes-tu pas ta faveur ? Comment peux-tu m’imposer la charge de tout ce peuple ? Est-ce moi qui ai conçu tout ce peuple ? Est-ce moi qui l’ai mis au monde pour que tu me dises : « Porte-le sur ton cœur comme une nourrice porte le bébé qu’elle allaite, et cela jusqu’au pays que tu as promis à ses ancêtres » ?