Jòb 7:1-6
Jòb 7:1-6 1998 Haïtienne (HAT98)
Lavi yon nonm sou latè, se tankou sèvis militè l'ap fè. Li tankou moun k'ap vann jounen! Li tankou yon esklav k'ap tann lannwit pou l poze, tankou yon travayè k'ap tann kòb jounen travay li. Depi kèk mwa, m pa wè poukisa m'ap viv. Tout lannwit se soufri m'ap soufri. M poko kouche nan kabann mwen, m'ap mande kilè pou l jou. Nwit la long. M pa ka dòmi, yon bann vye lide ap pase nan tèt mwen jouk solèy leve. Tout kò m plen vè ak gwo plak bouton toupatou. Po m fann fann, l'ap bay postim. Jou m yo pase pi vit pase zegwi nan men moun k'ap maye senn. Yo disparèt, pa gen anyen m'ap tann ankò.
Jòb 7:1-6 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Job a dit encore : « Vraiment, la vie des gens sur la terre est très dure. Leur situation est celle des manœuvres. Ils sont comme l’esclave au soleil, qui cherche un peu d’ombre, ou comme un ouvrier qui attend son salaire. Pour moi, c’est la même chose ! Depuis des mois, ma vie est inutile. Je connais seulement des nuits de souffrance. Dès que je suis couché, je me dis : “Si seulement c’était le jour !” La nuit est longue, et je me retourne sans cesse dans mon lit jusqu’au matin. J’ai le corps couvert de vers et de croûtes pareilles à la terre. Ma peau se fend, et mes plaies coulent. Ma vie a passé plus vite que la navette du tisserand. Elle va bientôt s’arrêter quand le fil de l’espoir sera fini. *
Jòb 7:1-6 New International Version (NIV)
“Do not mortals have hard service on earth? Are not their days like those of hired laborers? Like a slave longing for the evening shadows, or a hired laborer waiting to be paid, so I have been allotted months of futility, and nights of misery have been assigned to me. When I lie down I think, ‘How long before I get up?’ The night drags on, and I toss and turn until dawn. My body is clothed with worms and scabs, my skin is broken and festering. “My days are swifter than a weaver’s shuttle, and they come to an end without hope.
Jòb 7:1-6 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Le sort de l’homme sur la terre ╵est celui d’un soldat et ses jours sont semblables ╵à ceux d’un mercenaire. Il est comme un esclave ╵qui soupire après l’ombre et comme un ouvrier ╵qui attend son salaire. J’ai reçu en partage ╵des mois de déception, j’ai trouvé dans mon lot ╵des nuits de peine amère. Dès que je suis couché, je dis : ╵« Quand vais-je me lever ? » Sitôt levé, je pense : ╵« Quand donc viendra le soir ? » Et, jusqu’au crépuscule, ╵je suis agité de douleurs. Mon corps est couvert de vermine ╵et de croûtes terreuses, ma peau s’est crevassée, ╵partout, mes plaies suppurent. Mes jours se sont enfuis ╵plus rapides que la navette ╵d’un tisserand habile. Ils tirent à leur fin ╵sans qu’il y ait d’espoir.