Ezayi 64:1-9

Ezayi 64:1-9 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Tu serais comme le feu qui brûle les buissons, ou qui fait bouillir l’eau. Ainsi tu ferais savoir à tes ennemis qui tu es. Devant toi, les peuples trembleraient quand tu ferais des choses terribles qu’on n’attend pas. Oui, tu descendrais, et les montagnes trembleraient devant toi. Aucun autre dieu que toi n’agit de cette façon pour ceux qui ont confiance en lui. Non, personne n’en a jamais entendu parler, personne ne l’a jamais appris, aucun œil ne l’a jamais vu. Tu viens à la rencontre de ceux qui pratiquent la justice avec joie, qui se souviennent de toi pour suivre ton chemin. Tu t’es mis en colère à cause de nos fautes. Mais nous serons sauvés en suivant les chemins d’autrefois. Nous sommes tous comme des gens impurs, et nos meilleures actions sont aussi dégoûtantes qu’un linge taché de sang. Nos fautes nous rendent semblables à des feuilles mortes emportées par le vent. Personne ne fait plus appel à toi, personne ne se réveille pour s’attacher à toi. En effet, tu ne veux plus nous voir et tu nous as abandonnés au pouvoir de nos fautes. Pourtant, SEIGNEUR, tu es notre père. Nous sommes l’argile, et tu es le potier. Tes mains nous ont tous formés. Ne sois pas trop en colère, SEIGNEUR. Ne te souviens pas pour toujours de nos fautes. Regarde, nous t’en prions, nous sommes tous ton peuple. Tes villes saintes n’ont plus d’habitants, Jérusalem est devenue un désert, Sion est un tas de pierres abandonnées.

Ezayi 64:1-9 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Comme le feu ╵consume les taillis et fait bouillonner l’eau, ainsi tu ferais connaître ton nom ╵à tous tes adversaires, et tous les peuples ╵trembleraient devant toi. Si tu accomplissais ╵des actes redoutables que nous n’attendons pas, oui, si tu descendais, devant toi, les montagnes ╵s’effondreraient. Jamais on n’a appris, ╵ni jamais entendu, jamais un œil n’a vu qu’un autre dieu que toi ait agi en faveur ╵de qui compte sur lui. Tu viens à la rencontre de celui qui pratique ╵la justice avec joie, et tient compte de toi ╵pour suivre les chemins ╵que tu prescris. Mais tu t’es irrité ╵car nous avons péché. C’est sur ces chemins de toujours ╵que nous serons sauvés. Nous sommes tous semblables ╵à des êtres impurs, toute notre « justice » ╵est comme des linges souillés. Nous sommes tous flétris ╵comme un feuillage, nos fautes nous emportent ╵comme le vent. Personne ne t’invoque, personne ne se ressaisit ╵pour s’attacher à toi. Car tu t’es détourné de nous et tu nous as fait défaillir sous le poids de nos fautes. Et pourtant, Eternel, ╵toi, tu es notre père. Nous, nous sommes l’argile, et tu es le potier ╵qui nous a façonnés : nous sommes tous l’ouvrage ╵que tes mains ont formé. Ne sois pas courroucé ╵à l’excès, Eternel. Ne nous tiens pas rigueur ╵à toujours de nos fautes ! Et daigne porter tes regards ╵sur nous tous qui sommes ton peuple ! Voici : tes villes saintes ╵sont dépeuplées. Sion est un désert, Jérusalem est désolée