Jenèz 20:1-18
Jenèz 20:1-18 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Abraham part pour la région du sud. Il s’installe entre Cadès et Chour, puis il vient habiter à Guérar. Abraham dit en parlant de sa femme Sara : « C’est ma sœur. » Alors Abimélek, roi de Guérar, la fait enlever. Mais Dieu se montre à Abimélek dans un rêve pendant la nuit. Il lui dit : « Tu vas mourir à cause de la femme que tu as enlevée. En effet, elle est mariée. » Abimélek ne s’est pas encore approché d’elle. Il dit : « Seigneur, mon peuple et moi, nous sommes innocents. Est-ce que tu vas nous faire mourir quand même ? C’est Abraham qui m’a dit : “C’est ma sœur.” Et elle, elle a dit : “C’est mon frère.” J’étais vraiment sincère et je n’ai rien fait de mal. » Dieu lui répond dans un rêve : « Tu étais sincère, je le sais, moi aussi. Et c’est moi qui t’ai empêché de faire une faute contre moi. C’est pourquoi je ne t’ai pas laissé toucher cette femme. Maintenant, rends-la à son mari. C’est un prophète. Il priera pour que tu restes en vie. Si tu ne la rends pas, tu dois savoir ceci : tu mourras sûrement, toi et toute ta famille. » Abimélek se lève tôt le matin. Il appelle tous ses ministres et il leur raconte toute cette affaire. Ils ont très peur. Abimélek appelle Abraham et lui demande : « Qu’est-ce que tu nous as fait là ? Tu nous as poussés, moi et mon royaume, à commettre une faute très grave. Est-ce que j’ai fait une faute contre toi ? Tu t’es conduit envers moi comme on ne doit jamais le faire. » Abimélek continue : « Qu’est-ce que tu cherchais en agissant de cette façon ? » Abraham répond : « J’ai pensé : “Les gens d’ici n’ont aucun respect pour Dieu. Ils vont me tuer à cause de ma femme.” D’ailleurs, c’est vrai qu’elle est ma sœur, puisque nous avons le même père. Mais nous n’avons pas la même mère, et elle est devenue ma femme. Quand Dieu m’a fait quitter la maison de mon père, j’ai dit à Sara : “Voici la faveur que je te demande : partout où nous irons, dis que je suis ton frère.” » Abimélek prend des moutons, des chèvres et des bœufs, des esclaves, hommes et femmes. Il les donne à Abraham en lui rendant sa femme Sara. Abimélek lui dit : « Mon pays est devant toi. Installe-toi là où tu veux. » Puis il dit à Sara : « Tu vois, je donne mille pièces d’argent à ton frère. Pour tous ceux qui sont avec toi, ce sera la preuve que tu n’es pas coupable dans cette affaire. Et tu retrouveras ton honneur aux yeux de tous. » Le SEIGNEUR a rendu stériles toutes les femmes de la maison d’Abimélek, à cause de Sara, la femme d’Abraham. Alors Abraham prie Dieu, et Dieu guérit Abimélek, sa femme et ses servantes : elles peuvent de nouveau avoir des enfants.
Jenèz 20:1-18 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Abraham quitta cette région pour aller dans le Néguev. Il s’installa entre Qadesh et Shour, puis il séjourna à Guérar. En parlant de sa femme Sara, il disait : « C’est ma sœur ! » de sorte qu’Abimélek, le roi de Guérar, la fit enlever. Mais Dieu visita Abimélek de nuit en songe et lui dit : Tu vas mourir, à cause de cette femme que tu as enlevée, car elle est mariée. Or Abimélek ne s’était pas approché d’elle. Il s’écria : Mon Seigneur, ferais-tu mourir des innocents ? Son mari ne m’a-t-il pas dit : « C’est ma sœur » ? D’ailleurs, elle-même me l’a confirmé en affirmant : « C’est mon frère. » C’est en toute bonne conscience et avec innocence que j’ai agi. Dieu lui répondit en songe : Je sais, moi aussi, que tu as agi en toute bonne conscience. C’est pourquoi je t’ai empêché de commettre un péché contre moi et je ne t’ai pas laissé la toucher. Maintenant, renvoie cette femme à son mari, car c’est un prophète. Il priera pour toi et tu resteras en vie. Mais si tu ne la lui rends pas, sache que tu mourras, toi et tous les tiens. De bon matin, Abimélek convoqua tous ses familiers et leur raconta tout ce qui lui était arrivé. Ces gens en furent extrêmement troublés. Puis Abimélek fit venir Abraham et lui dit : Pourquoi nous as-tu fait cela ? Quel mal t’ai-je fait pour que tu nous aies exposés, moi et mon royaume, à commettre un si grand péché ? Tu as fait envers moi des choses qui ne se font pas. Puis il demanda à Abraham : Pour quelle raison as-tu agi de la sorte ? Abraham répondit : Je me suis dit : Certainement, on n’a aucune crainte de Dieu dans ce pays, et on me tuera à cause de ma femme. De plus, elle est réellement ma parente, puisqu’elle est fille de mon père, mais pas de ma mère. Et elle est devenue ma femme. Quand Dieu m’a fait quitter la maison de mon père et aller de lieu en lieu, j’ai dit à ma femme : « Aie la bonté de dire, partout où nous irons, que je suis ton frère. » Alors Abimélek prit des moutons, des chèvres et des bovins, des serviteurs et des servantes et en fit cadeau à Abraham. Il lui rendit aussi Sara, sa femme. Puis il ajouta : Mon pays est à ta disposition ; établis-toi où bon te semblera. Puis, se tournant vers Sara, il dit : Vois, je donne mille pièces d’argent à ton frère. C’est là un gage de ton innocence pour tous ceux qui sont avec toi et cela te justifiera devant tous. Abraham pria Dieu, et Dieu guérit Abimélek ainsi que sa femme et ses servantes, et elles purent de nouveau avoir des enfants. Car l’Eternel avait frappé de stérilité toutes les femmes dans la maison d’Abimélek à cause de l’enlèvement de Sara, femme d’Abraham.
Jenèz 20:1-18 1998 Haïtienne (HAT98)
Abraram kite Manmre, li desann nan sid peyi a. Li rete ant Kadès ak Chour kote li moute kay li. Pandan tout tan li t'ap viv nan peyi Gera a, li t'ap di se sè li Sara ye. Se konsa, Abimelèk, wa peyi Gera, fè yo fè fòs sou Sara mennen li ba li. Men pandan lannwit lan, Abimelèk fè yon rèv. Li wè Bondye parèt devan li. Bondye di li: — Gade non monchè! Ou pral mouri tande, poutèt fanm lan ou fè yo fè fòs sou li mennen li ba ou a. Men, Abimelèk pat gentan kouche avè Sara. Li di: — Mèt, eske w'ap kite yon pèp inonsan peri? Se Abraram ki di m se sè li Sara ye. Sara pou tèt pa l di m se frè li Abraram ye. Mwen fè sa m fè a san okenn move lide. Mwen konnen mwen pa fè anyen ki mal. Bondye reponn li nan rèv la: — Wi. Mwen konnen ou fè sa ou fè a san okenn move lide dèyè tèt ou. Se poutèt sa mwen pa kite ou fè peche sa a kont mwen. Mwen pa kite ou fè madanm lan anyen. Men sa pou ou fè: renmèt nonm lan madanm li. Se yon pwofèt Bondye li ye. L'a lapriyè pou ou pou ou pa mouri. Men, si ou pa renmèt li, mwen tou di ou nou pral mouri, ou menm ansanm ak tout fanmi ou. Nan maten, bonè bonè, Abimelèk rele tout domestik li yo, li rakonte yo tout bagay. Yo tout yo te pè anpil. Lèfini, Abimelèk rele Abraram, li di l: — Kisa ou fè nou konsa? Kisa m fè ou pou ou ta lakòz yon gwo malè konsa tonbe sou mwen ak sou peyi a? Sa ou fè nou la a, se bagay moun pa gendwa fè. Abimelèk di Abraram ankò: — Poukisa ou fè sa ou fè a? Abraram reponn li: — Mwen te di nan kè m': Pa gen moun bò isit la ki gen krentif pou Bondye. Mwen te kwè yo ta ka touye m' poutèt madanm mwen. Men, se vre wi, se sè m li ye. Nou menm papa, men nou pa menm manman. Epi se madanm mwen li ye tou. Se konsa, lè Bondye fè m kite lakay papa m pou m al nan peyi etranje yo, mwen di Sara: m'ap mande ou pou rann mwen yon sèvis? Si ou renmen m vre, tanpri, kote ou pase, se pou di se frè ou mwen ye. Lè sa a, Abimelèk renmèt Sara bay Abraram. Anmenmtan li ba li mouton, bèf ak domestik, fanm kou gason, pou sèvi l. Li di Abraram: — Gade! Tout peyi m lan devan ou. Rete kote ki fè ou plezi. Epi li di Sara: — Mwen bay frè ou la mil (1.000) pyès lajan. Se pou sa ka fè moun ki la avè ou yo bliye sa k te rive ou. Konsa, tout moun va konnen ou pat fè anyen ki mal. Poutèt sa ki te rive Sara, madanm Abraram lan, Senyè a te fè tout fanm lakay Abimelèk pat kapab fè pitit. Abraram lapriyè pou Abimelèk, epi Bondye geri li. Bondye geri madanm li tou ansanm ak medam k'ap travay lakay li pou yo te kapab fè pitit ankò.
Jenèz 20:1-18 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Abraham part pour la région du sud. Il s’installe entre Cadès et Chour, puis il vient habiter à Guérar. Abraham dit en parlant de sa femme Sara : « C’est ma sœur. » Alors Abimélek, roi de Guérar, la fait enlever. Mais Dieu se montre à Abimélek dans un rêve pendant la nuit. Il lui dit : « Tu vas mourir à cause de la femme que tu as enlevée. En effet, elle est mariée. » Abimélek ne s’est pas encore approché d’elle. Il dit : « Seigneur, mon peuple et moi, nous sommes innocents. Est-ce que tu vas nous faire mourir quand même ? C’est Abraham qui m’a dit : “C’est ma sœur.” Et elle, elle a dit : “C’est mon frère.” J’étais vraiment sincère et je n’ai rien fait de mal. » Dieu lui répond dans un rêve : « Tu étais sincère, je le sais, moi aussi. Et c’est moi qui t’ai empêché de faire une faute contre moi. C’est pourquoi je ne t’ai pas laissé toucher cette femme. Maintenant, rends-la à son mari. C’est un prophète. Il priera pour que tu restes en vie. Si tu ne la rends pas, tu dois savoir ceci : tu mourras sûrement, toi et toute ta famille. » Abimélek se lève tôt le matin. Il appelle tous ses ministres et il leur raconte toute cette affaire. Ils ont très peur. Abimélek appelle Abraham et lui demande : « Qu’est-ce que tu nous as fait là ? Tu nous as poussés, moi et mon royaume, à commettre une faute très grave. Est-ce que j’ai fait une faute contre toi ? Tu t’es conduit envers moi comme on ne doit jamais le faire. » Abimélek continue : « Qu’est-ce que tu cherchais en agissant de cette façon ? » Abraham répond : « J’ai pensé : “Les gens d’ici n’ont aucun respect pour Dieu. Ils vont me tuer à cause de ma femme.” D’ailleurs, c’est vrai qu’elle est ma sœur, puisque nous avons le même père. Mais nous n’avons pas la même mère, et elle est devenue ma femme. Quand Dieu m’a fait quitter la maison de mon père, j’ai dit à Sara : “Voici la faveur que je te demande : partout où nous irons, dis que je suis ton frère.” » Abimélek prend des moutons, des chèvres et des bœufs, des esclaves, hommes et femmes. Il les donne à Abraham en lui rendant sa femme Sara. Abimélek lui dit : « Mon pays est devant toi. Installe-toi là où tu veux. » Puis il dit à Sara : « Tu vois, je donne mille pièces d’argent à ton frère. Pour tous ceux qui sont avec toi, ce sera la preuve que tu n’es pas coupable dans cette affaire. Et tu retrouveras ton honneur aux yeux de tous. » Le SEIGNEUR a rendu stériles toutes les femmes de la maison d’Abimélek, à cause de Sara, la femme d’Abraham. Alors Abraham prie Dieu, et Dieu guérit Abimélek, sa femme et ses servantes : elles peuvent de nouveau avoir des enfants.
Jenèz 20:1-18 New International Version (NIV)
Now Abraham moved on from there into the region of the Negev and lived between Kadesh and Shur. For a while he stayed in Gerar, and there Abraham said of his wife Sarah, “She is my sister.” Then Abimelek king of Gerar sent for Sarah and took her. But God came to Abimelek in a dream one night and said to him, “You are as good as dead because of the woman you have taken; she is a married woman.” Now Abimelek had not gone near her, so he said, “Lord, will you destroy an innocent nation? Did he not say to me, ‘She is my sister,’ and didn’t she also say, ‘He is my brother’? I have done this with a clear conscience and clean hands.” Then God said to him in the dream, “Yes, I know you did this with a clear conscience, and so I have kept you from sinning against me. That is why I did not let you touch her. Now return the man’s wife, for he is a prophet, and he will pray for you and you will live. But if you do not return her, you may be sure that you and all who belong to you will die.” Early the next morning Abimelek summoned all his officials, and when he told them all that had happened, they were very much afraid. Then Abimelek called Abraham in and said, “What have you done to us? How have I wronged you that you have brought such great guilt upon me and my kingdom? You have done things to me that should never be done.” And Abimelek asked Abraham, “What was your reason for doing this?” Abraham replied, “I said to myself, ‘There is surely no fear of God in this place, and they will kill me because of my wife.’ Besides, she really is my sister, the daughter of my father though not of my mother; and she became my wife. And when God had me wander from my father’s household, I said to her, ‘This is how you can show your love to me: Everywhere we go, say of me, “He is my brother.” ’ ” Then Abimelek brought sheep and cattle and male and female slaves and gave them to Abraham, and he returned Sarah his wife to him. And Abimelek said, “My land is before you; live wherever you like.” To Sarah he said, “I am giving your brother a thousand shekels of silver. This is to cover the offense against you before all who are with you; you are completely vindicated.” Then Abraham prayed to God, and God healed Abimelek, his wife and his female slaves so they could have children again, for the LORD had kept all the women in Abimelek’s household from conceiving because of Abraham’s wife Sarah.
Jenèz 20:1-18 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Abraham quitta cette région pour aller dans le Néguev. Il s’installa entre Qadesh et Shour, puis il séjourna à Guérar. En parlant de sa femme Sara, il disait : « C’est ma sœur ! » de sorte qu’Abimélek, le roi de Guérar, la fit enlever. Mais Dieu visita Abimélek de nuit en songe et lui dit : Tu vas mourir, à cause de cette femme que tu as enlevée, car elle est mariée. Or Abimélek ne s’était pas approché d’elle. Il s’écria : Mon Seigneur, ferais-tu mourir des innocents ? Son mari ne m’a-t-il pas dit : « C’est ma sœur » ? D’ailleurs, elle-même me l’a confirmé en affirmant : « C’est mon frère. » C’est en toute bonne conscience et avec innocence que j’ai agi. Dieu lui répondit en songe : Je sais, moi aussi, que tu as agi en toute bonne conscience. C’est pourquoi je t’ai empêché de commettre un péché contre moi et je ne t’ai pas laissé la toucher. Maintenant, renvoie cette femme à son mari, car c’est un prophète. Il priera pour toi et tu resteras en vie. Mais si tu ne la lui rends pas, sache que tu mourras, toi et tous les tiens. De bon matin, Abimélek convoqua tous ses familiers et leur raconta tout ce qui lui était arrivé. Ces gens en furent extrêmement troublés. Puis Abimélek fit venir Abraham et lui dit : Pourquoi nous as-tu fait cela ? Quel mal t’ai-je fait pour que tu nous aies exposés, moi et mon royaume, à commettre un si grand péché ? Tu as fait envers moi des choses qui ne se font pas. Puis il demanda à Abraham : Pour quelle raison as-tu agi de la sorte ? Abraham répondit : Je me suis dit : Certainement, on n’a aucune crainte de Dieu dans ce pays, et on me tuera à cause de ma femme. De plus, elle est réellement ma parente, puisqu’elle est fille de mon père, mais pas de ma mère. Et elle est devenue ma femme. Quand Dieu m’a fait quitter la maison de mon père et aller de lieu en lieu, j’ai dit à ma femme : « Aie la bonté de dire, partout où nous irons, que je suis ton frère. » Alors Abimélek prit des moutons, des chèvres et des bovins, des serviteurs et des servantes et en fit cadeau à Abraham. Il lui rendit aussi Sara, sa femme. Puis il ajouta : Mon pays est à ta disposition ; établis-toi où bon te semblera. Puis, se tournant vers Sara, il dit : Vois, je donne mille pièces d’argent à ton frère. C’est là un gage de ton innocence pour tous ceux qui sont avec toi et cela te justifiera devant tous. Abraham pria Dieu, et Dieu guérit Abimélek ainsi que sa femme et ses servantes, et elles purent de nouveau avoir des enfants. Car l’Eternel avait frappé de stérilité toutes les femmes dans la maison d’Abimélek à cause de l’enlèvement de Sara, femme d’Abraham.