2 Wa 7:3-9

2 Wa 7:3-9 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Quatre lépreux sont installés près de la porte de la ville. Ils se disent l’un à l’autre : « Pourquoi rester ici à attendre la mort ? Si nous décidons d’entrer dans la ville, nous ne trouverons rien à manger et nous mourrons. Si nous restons ici, nous mourrons aussi. Allons plutôt au camp des Syriens et livrons-nous à eux. S’ils nous laissent en vie, tant mieux, nous vivrons. S’ils nous tuent, tant pis, nous mourrons ! » Vers le soir, ils se lèvent pour aller au camp des Syriens. Ils arrivent près du camp, mais ils ne trouvent personne. En effet, dans le camp des Syriens, le Seigneur a fait entendre le bruit d’une grande armée avec des chars et des chevaux. Les Syriens se sont dit entre eux : « Le roi d’Israël a payé les rois des Hittites et des Égyptiens pour venir nous attaquer ! » À la tombée de la nuit, ils ont donc fui pour sauver leur vie. Ils ont abandonné leurs tentes, leurs chevaux et leurs ânes en laissant le camp comme il était. Les lépreux traversent tout le camp et entrent sous une tente. Là, ils mangent et ils boivent. Ils emportent de l’argent, de l’or et des vêtements qu’ils vont cacher. Ensuite, ils entrent dans une autre tente, et ils emportent des objets qu’ils vont cacher aussi. Les lépreux se disent entre eux : « Nous n’agissons pas bien ! Aujourd’hui, nous avons appris une bonne nouvelle. Si nous ne la faisons pas connaître avant demain matin, nous serons dans notre tort. Nous devons annoncer cette nouvelle au palais du roi. »

Pataje
Li 2 Wa 7

2 Wa 7:3-9 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Près de la porte d’entrée de la ville se trouvaient quatre hommes atteints d’une maladie de peau rendant impur. Ils se dirent l’un à l’autre : A quoi bon rester ici à attendre la mort ? Si nous décidons d’entrer dans la ville, nous y mourrons, car la famine y règne. Si nous restons ici, nous mourrons également. Venez, descendons plutôt au camp des Syriens et rendons-nous à eux ! S’ils nous laissent vivre, tant mieux, et s’ils nous font mourir, eh bien ! nous mourrons ! Vers le soir, ils se préparèrent donc à descendre au camp des Syriens. Lorsqu’ils furent arrivés à la limite du camp, il n’y avait plus personne. Le Seigneur avait fait entendre aux assiégeants le bruit d’une grande armée venant avec des chars et des chevaux. Les Syriens s’étaient dit l’un à l’autre : Le roi d’Israël a certainement enrôlé contre nous les rois des Hittites et les rois des Egyptiens pour qu’ils viennent nous attaquer. Ainsi, pour sauver leurs vies, ils se levèrent et s’enfuirent à la tombée de la nuit, abandonnant leurs tentes, leurs chevaux, leurs ânes et laissant leur camp tel quel. Lorsque les hommes affectés d’une maladie de la peau furent donc arrivés à la limite du camp, ils entrèrent dans une tente, où ils mangèrent et burent ce qu’ils y trouvèrent. Puis ils emportèrent de l’argent, de l’or et des vêtements pour les cacher ailleurs. Ensuite, ils revinrent et pénétrèrent sous une autre tente, y prirent ce qu’ils trouvèrent et allèrent encore le cacher. Puis ils se dirent l’un à l’autre : Ce n’est pas bien, ce que nous faisons là ! Ce jour est un jour de bonne nouvelle. Si nous gardons cette bonne nouvelle pour nous et si nous attendons qu’il fasse jour pour la publier, le châtiment nous atteindra. Venez maintenant, allons prévenir le palais royal.

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